Sorën Williamson

Feat : Kotetsu T. Kaburagi - Tiger & Bunny

Nom ; Williamson. Prénom ; Sorën. Surnoms ; /// Âge ; 27 ans. Dâte de naissance ; 30 juillet 1884 Sexe ; Homme Origines ; Américaine Groupe ; Esclave Rang ; Pas vraiment soumis mais pas rebelle non plus Orientation sexuelle ; Bi ayant une nette préférence pour les hommes Race ; Canidé - petit gabarit- Renard de Darwin.

Caractère
Franc - Raisonnable- Rancunier- Intelligent- Loyal

Je suis quelqu'un de franc, si vous m’agacez je vous le dirais si je ne peux pas vous encadrer ça sera la même, je ne suis pas vraiment du genre passionné, je l'ai été à une époque mais ce n'est plus le cas, j'ai tendance à me méfier de tout et de n'importe qui, je suis assez ouvert comme personne, je me moque de quel clan vous êtes. Je ne comprends pas les gens qui passent leur temps à se plaindre, si on veut vraiment quelque chose, on s'arrange pour l'avoir, il faut se donner les moyens de réussir, je n'aime pas les esprits faibles, j'en tolère certain, mais là il y a de la nuance, il y a faible et faible.

Je suis le genre de personne à vous regarder droit dans les yeux, je ne les baisserais pas d'ailleurs, je n'en vois pas l’intérêt, si ça ne vous plait pas tant pis, je ne vais pas changez pour vous, j'ai vite mûris ce qui fait que je suis en décalé avec les gens de mon âge, pas tous heureusement mais une bonne partie. S'amuser oui pourquoi pas tant que ça reste raisonnable, ne vous attendez pas à me voir ivre danser sur une table, ce n'est absolument pas mon style. Je ne suis pas froid, peut être que vous en avez l'impression, j'ai été trahis ça m'a rendu un brin septique sur les relations avec les gens, un brin narquois aussi. Je manie assez bien les mots, je ne m’énerve pas facilement mais là tout dépend aussi le sujet abordé, je me moque qu'on s'en prenne à moi, j'ai le dos large, par contre si on touche à une personne qui m'est cher, je n'ai guère d’espérance pour votre longueur de vie.

J'aime lire, il ne sera pas rare que vous me trouviez perché sur une branche en train de lire, la musique aussi, j'aime en écouter. Je ne rêvasse pas beaucoup mais je suis souvent plonger dans mes pensées, ce n'est pas la même chose, j'observe, je réfléchis, je ne rêvasse pas. Je suis très observateur, du moins j'essaie de l'être le plus possible, on apprend beaucoup en regardant les gens qui nous entourent, la façon dont ils se placent, la façon dont ils vous parlent, ect. J'ai une bonne mémoire, peut-être trop bonne parfois, oui je suis rancunier, et alors? Qui ne l'est pas.. En ce qui concerne l'estime de soi, je suis passé par toute les phases, j'étais très confiant à une époque et puis tout à voler en éclat, j'en suis où? Je ne sais pas trop, ça va ça vient, autant je serais sur de mes choix sur certaines choses autant sur d'autre, j'essaie de me guider à l'instinct, même si je pense que mon instinct m'a fait défaut plus d'une fois. Oui je me remets sans cesse en question, je peux avoir l'air d'une personne torturer, naviguant entre deux eaux, c'est probablement le cas dans le fond, mais je tache de le dissimuler. J'ai un côté très sombre que je cache tout au fond de moi, tellement sombre que je me fais parfois peur c'est pour ça que je ne veux pas m'attacher, et puis quand les sentiments s'en mêle je deviens pataud, flirter ça va encore mais quand ça commence à devenir sérieux je me mets à dire ou faire n'importe quoi...

Il est assez élancé, son corps est fin et musclé, , il y a encore un décennie, c'était un gringalet assez chétif, il s'est mit à grandir, son corps s'est développé, bref il est devenus un homme. Ne vous y fiez pourtant pas, ce n'est pas parce qu'il est mince, que son corps n'est pas endurant et résistant, il sait se défendre et encaisser les coups, bien sûr il n'a rien d'une grosse bille, et il lui est arrivé de se prendre une raclée ou deux, d'ailleurs il garde une belle cicatrice au niveau de son flanc droit, blessure d'une rixe qui a mal tourné. Ses mains sont comment dire.. Digne d'un chirurgien, il a de longs doigts, d'une douceur incroyable, pourtant ces même mains sont capables de vous mettre une droite bien sentie qui pourrait vous assommer.

Sa démarche est vive mais aussi dansante, il avance de façon déterminer, quand on le voit s'avancer, on peut se dire, celui là il sait où il va. Il reste néanmoins aux aguets, même si il n'en donne pas l'air, il a toujours conscience de ce qui se passe autour de lui.

Passons à son visage, efféminé? Mh oui et non, un menton volontaire, un nez fin et droit, des petites lèvres fines et roses pâles, la plupart du temps il ne fait que sourire avec simplicité, et honnêtement quand il le fait son sourire est soit moqueur, soit méprisant, bien sûr il y arrive de sourire pour de vrai, et là c'est tout autre chose et ne vous leurrer pas cela n'arrive pas souvent, il a des pommettes hautes qui rougissent parfois quand il est gêné, mais là de même cela n'arrive pas souvent. Il en a deux yeux, ne riez pas, c'est un atout non négligeable ça et il les a bleus, il possède de longs cils qui approfondissent son regard, en parlant de regard, méfiez vous quand il pose les yeux sur vous, tout comme sa démarche son regard est déterminé, on dit parfois qu'on peut y voir brûler des flammes, bien sur cela n'est pas vrai, mais c'est l'impression qu'il donne, cet air froid et déterminé, d'autre vous dirons qu'ils ont eus l'impression d'être passer aux rayons X, pourquoi pas? Chacun a sa propre façon d’interpréter son regard, mais une chose est sur, il soutiendra le votre sans peine.

Revenons à nos moutons, donc il a de longs cils, ceux ci sont surmontés par de fin sourcils, non il ne s'épile pas mais il est vrai que l'on pourrait en douter. Sa peau est légèrement hâlée, il n'est pas de ce genre de personne à prendre un coup de soleil à chaque fois qu'il va au soleil. Il possède une légère asymétrie à son oreille droite, ce n'est pas vraiment voyant.

Voilà nous avons fait le tour de sa personne, que vous dire de plus?

Une rencontre assez simple entre un homme et une femme, lui moyen gabarit, elle petit. Elle s'appelle Hélène, elle a 22 ans. Un coup de foudre sur une petite île crétoise, un baiser, une promesse. Lui, il s'appelle John, il est américain, c'est un homme de sciences, un médecin, c'est son autre, sa vie, elle est l'alpha, il est l'oméga ou vice versa. Qui aurait pu penser qu'une nuit suffirait à produire autant de miracle? Celui de l'amour inconditionnel, celui de la découverte d'une autre vie, celui de la procréation? Hélène n'en revenait pas, il aura suffi d'une fois, une seule fois pour qu'elle soit enceinte… Une nuit avait suffi, une nuit passionnée, une nuit merveilleuse, sa première nuit avec John.

Ensemble, ils apprirent, lui à se maîtriser, elle à sentir bouger son enfant en elle, rien ne pouvait venir ombrager leur amour, ils étaient fusionnel comme il n'était pas permis, ne se quittant pas plus de 5 minutes, ça leur était comme impossible, un manque déchirant les assaillait dés qu'ils étaient loin l'un de l'autre. Les mois passèrent, son ventre s'arrondissait, leur amour grandissait.

Un cri, comme un déchirement dans la nuit, l'heure était venus, lui a ses côtés, elle, gémissant de douleur, elle le sentait, quelque chose n'allait pas, c'était long, trop long, trop douloureux aussi, John tenant sa main, la suppliant de tenir bon, lui disant ô combien il l'aimait, trop de monde autour d'eux, trop d'agitation aussi... Et ces murmures, ces voix désolées et anxieuses...Un nouveau cri se fit entendre, plus faible, celui d'un enfant, celui de leur fils puis encore un cri et un autre, un deuxième enfant, un autre fils, le regard brillant John regarda les petits, tenant toujours la main de son amour... "Ils sont si beaux...Regarde mon amour"... John posa les yeux sur sa femme, sur sa compagne, un cri…Encore un, celui d'un amour perdu, celui d'un homme brisé par la mort de celle qu'il aimait de tout son cœur... Ainsi naquit Noak et Sorën, joie et douleur, perte et offrande, derniers cadeaux d'une épouse aimante à l'amour de sa vie...

Que dire sur les années qui ont suivis? Que la douleur, l'absence étaient présente, qu'il y avait comme une ombre qui planait au-dessus de John, Sorën, et Noak? Malgré le fait que John aimait ses enfants, il n'était plus vraiment le même, amputé d'une partie de lui, la meilleure partie de lui, il ne souriait plus qu'à moitié, même sa démarche, sa gestuelle, avaient changés. Il s'était mis à boire, à jouer aussi... Sorën grandissait tout comme son jumeau, ils étaient fusionnels, toujours là l'un pour l'autre, ressemblant à leur parents, le sourire de leur mère, le regard de leur père, doux et merveilleux mélange d'un amour infinis. L'enfance finit, vint l'adolescence, Sorën était timide ne sortait guère préférant rester chez eux, tenant compagnie à son père, apprenant de lui, fasciné par le métier qu'il exerçait. Bon nombre de fois il l'accompagna, racontant tout  émerveillé ses journées à son frère, plus extravertie, plus sociable que lui, probablement moins intéressé par cet art aussi.

Une journée comme les autres, il avait 17 ans, une bonne nuit de sommeil, peut-être un peu trop bonne d’ailleurs il avait un gout un peu étrange dans la bouche, mais il ne s’attarda pas plus dessus, se levant il bailla longuement puis se dirigea vers la chambre de son frère, baillant à nouveau se frottant la nuque encore un peu endormis. La porte était ouverte, il fronça un peu le nez, entrant après un léger coup à la porte. Le lit n’était pas défait, les tiroirs ouverts, il s’approcha un peu plus il manquait beaucoup de chose et en particulier son frère. Sortant à toute vitesse il alla tambouriner à la porte de la chambre de leur père, déjà levé apparemment, chose surprenante quand on savait qu’il s’était porter sur la bouteille un peu plus que d’habitude ces derniers temps. Un père sobre lui ouvrit tenant dans sa main une lettre, Sorën grogna un peu lui demandant ou était son frère, pourquoi son lit n’était même pas défait. Sans un mot son père lui tendit la lettre. Pas de doute possible c’était bien l’écriture de Noak. Il était partis, sois disant qu’il n’en pouvait plus de cette vie, qu’il lui demandait pardon et de surtout ne pas chercher à le retrouver. Des traces humides, surement causé par des larmes, jonchaient par moment la lettre. Sorën serra la lettre partant en courant sous les appels de son père, il n’arrivait pas y croire, son jumeau, l’autre partie de lui  n’avait pas pu partir comme ça. Sans lui ! Il ne lui avait même jamais parlé de ça. Pourtant c’était bien l’écriture de Noak. Le déni, la colère, le vide, mélange étrange et terriblement douloureux, jamais il ne put se remettre de ça.

Ce vide, il ne parvint jamais à le comblé, étrangement leur père avait même arrêté de boire à croire que lui aussi était terriblement toucher par la fuite de son fils. Les années passèrent, longues, douloureuse. Sorën devint médecin, comme tout le monde s’en doutait. Il semblait heureux, en apparence seulement, il était doué et ouvert, gentil même avec ses patients mais il manquait quelque chose, cela se voyait dans son regard, ce vide était toujours là. Impossible de faire autrement. Sa vie sociale se résumait à néant, préférant s’occuper des autres plutôt que de lui, au grand désespoir de son père, qui entre temps voyant la relève assuré c’était remis à boire. Ce fut un soir où passablement éméché son père lui révéla la vérité, Noak n’avait pas fugué il l’avait vendu pour régler ses dettes à un marchand d’esclave. Sorën entra dans une telle fureur que son poing vola directement sur la joue de son père ivre, le faisant basculer en arrière se cognant durement la tête contre le coin de la table basse, le tuant sur le coup. Ça aurait pu s’arrêter là mais non. Sorën fut pris d’une telle rage qu’il s’acharna sur son père frappant encore et encore les yeux brouillés par les larmes. Le visage de son père était méconnaissable, couvert de sang, tout comme les poings de Sorën, le sang avait giclé partout sur lui se relevant il quitta la pièce sans même un regard pour l’homme qu’il avait tué, n’ayant aucun regret sur le parricide qu’il venait de commettre. Il partit ainsi dans la nuit.

Il fut capturé un matin, un piège dans une forêt, sous forme animal, il ne vivait plus que comme ça depuis quelque temps, il n’était d’ailleurs pas en très bon état. Brisé mentalement, l’homme qui le captura se rendis vite compte qu’il pourrait tirer cela à profit. Sorën passant de maître en maitresse, au bon plaisir de chacun sans vraiment se soucier de ce qu’il lui arrivait. Pourtant un jour l’un de ses maîtres mentionna le fait qu’il l’avait déjà vu ailleurs, Sorën répondit que c’était impossible, pourtant l’homme arguât que si. Il ne lui faut pas plus pour comprendre qu’il parlait de Noak. Son jumeau était encore en vie ! Mais comment faire pour le rejoindre ? L’occasion se présenta bien plus vite qu’il ne le crut, l’enfant, le fils unique de son maître fut gravement blessé l’hors d’une chute de cheval. Sorën veilla jour et nuit sur lui, lui prodiguant tous les soins, ne se ménageant pas pour sauver le petit, et la chance lui souriait puis que l’enfant survécu. Son maître fut extrêmement reconnaissant au point de vouloir l’affranchir, mais Sorën refusa lui demandant juste de le vendre là où il avait vus son autre lui, expliquant son histoire à son possesseur. Contre tout espoir, l’homme refusa au début, il fallut tout l’insistance du jeune garçon qu’il avait sauvé. Il fut donc vendu aux Adamovitch…

Quel est ton p'tit pseudo ? Nyaa
Quel âge as-tu ? + de 20
Comment nous as-tu trouvé ? DC
Changerais-tu quelque chose ? Nop
Quel est le code du règlement ? My fair lady~
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Banane