Asca Kyo.

Feat : CherryBlossom - Jounetsunoakai

Nom ; Kyo. Prénom ; Asca. Surnoms ; « Catastrophe ambulante » ... Âge ; Vingt-sept ans. Date de naissance ; Le 18 Septembre 1884. Sexe ; Une femme ... et c'est déjà bien. Origines ; Japonaise. Groupe ; Esclave. Rang ; Tout dépend du maître, mais docile. Orientation sexuelle ; Désintéressée. Race ; Caïman Jacara – Crocodile – Petit gabarit -.

Caractère
Calme – Fidèle – Effacée – Maladroite - Patiente

Asca est une bonne pâte. Un peu « tapis de sol », de ceux que l'ont piétine et qui ne disent rien. Mais au fond, n'est-ce pas ce que l'on attend d'un esclave. Asca est d'un tempérament posé et calme. Peu bavarde, si tant est que l'avis de notre amie intéresse vraiment quelqu'un. Disons qu'elle observe et se contente généralement de « compter les points ». On notera cependant sa franchise et un sens asse aiguë de la rhétorique – second point qu'elle usera avec parcimonie et, en toute logique, uniquement si on la convie à prendre partie -. Petit animal effacé. Asca ne fait pas de vagues, se fond dans la masse. Elle s'applique dans ses tâches … tant bien que mal. Oui, notre caïman est une vraie catastrophe ambulante parfois. Que voulez-vous. Il y a des jours où ça passe. Et d'autres où ça casse … la vaisselle … Et vous aurez beau faire, il n'existe aucun remède. C'est l’intention qui compte à ce qu'il paraît.

Asca est fidèle. Elle a servit jusqu'à la fin son précédent maître et c'est son extrême douceur qui lui a valu l'affection de cette dernière. Pour autant, l'esclave a son petit caractère. C'est une pièce, et la face qu'elle dévoile dépend uniquement de l'attitude de son maître. Tantôt pile, revêche et acerbe. Tantôt face, tendre et protectrice. Asca est – en un sens - asse jalouse et possessive. Le peu d’attention qu'on lui accorde a vite l'effet d'une bombe sur notre amie. Animal de sang-froid qui n'en reste donc pas moins sensible. Asca se sait rapidement submergée par ses émotions et s'est forgée – depuis son arrivée au manoir – une sacrée carapace pour s'en prémunir. Fragile. Empathique. Esprit ouvert, mais versatile. Même si son rang lui impose un sérieux self-control … ses colères ont néanmoins le mérite de donner froid dans le dos. Et même si elle déteste les conflits, il suffit parfois de la fameuse goutte d'eau …

Que dire de plus sinon ? Un brin joueuse. Un brin curieuse. Elle aime lire – un des rares privilèges accordé dans son ancienne famille -. Au contact de son ancien maître, une enfant, elle a développé une grande patience. Elle est très souriante. Foncièrement avenante et d'une bonne foi asse affligeante. Elle pardonne tout et très facilement. Noble. Domestique. Esclave. Asca est d'une neutralité sans faille. Il n'y a que son maître et … point. Certain la qualifieront « d'imbécile heureuse » et, franchement, elle s'en fiche pas mal. « Faute de grive on mange des merles » et Asca se contente maintenant de ce qu'elle a.

Asca est un petit bout de femme d'environ un mètre soixante-trois, et qui a visiblement subit les quelques excentricités de son ancien maître avant son arrivée au manoir … Un petit gabarit. Svelte et élancée, notre esclave à des allures de poupée. Mais je vous rassure. Celle-là, vous n'êtes pas prêt(e) de la casser. Peau halé, parsemée ça et là de cicatrices. Vestiges de ladite éducation reçue et de ses quelques maladresses. Un vieux chapitre dans lequel elle jouait encore les rebelles. Il s'en résultera une grave blessure et de profondes séquelles. Un dos meurtri, fragilisé par les arguments « coups de poings » et qui l'a fait maintenant souffrir du soir au matin. Asca ne peut soulever de lourdes charges et, dans le pire des cas, la cloue littéralement sur place - et ça se saurait si on était aux petits soins des esclaves -.

Peau tatouée, mais pas percée. Esquisses indélébile et colorée. Créature millénaire et symbole de Force d'un pays dont elle ne mettra certainement plus jamais les pieds. Fresque dut à un simple coup de tête de son ancienne maîtresse. Une envie sitôt assouvie et, heureusement, passagère. Asca eu au moins le privilège d'être confiée à quelqu'un qui s'y connaissait dans ce domaine … mais Dieu que ça fait mal cette merde ! D'ailleurs, ce n'est pas la seule excentricité à laquelle l'esclave eu affaire. Il n'était/(n'est?) pas rare de voir Asca maquillée. Une vraie palette. C'est à se demander si on a pas prit son côté « poupée » au pied de la lettre – Et aussi à quoi elle peut bien ressembler au naturel … -.

Yeux en amande et iris sombre. Un regard profond et révélant un peu trop facilement selon elle la moindre de ses émotions. Un nez droit, des lèvres fines et pulpeuses. Asca possède des traits doux et fins, mais l'ensemble reste asse quelconque et banal. De longs cheveux blonds encadre son visage et descendent aisément jusqu'en bas de ses reins. Par soucis de confort elle se les attache. Et oui, les mèches rosez sont aussi dut à la Miss' et l'un de ses « délires artistiques ». Tenue vestimentaire aléatoire. L'esclave peut aussi bien se vêtir en homme qu'en femme. Au plus simple, au plus confortable.

Tout commença par une simple rencontre. Nous sommes en 1876 lorsqu'un homme dénommé Smith, un américain, foule le sol japonais. Ici tradition et nouvelles mœurs s'entre-déchirent depuis l'ouverture des frontières. Smith est un soldat, un thérianthrope reptilien. Sa mission se résume à former les soldats dans l'usage des armes occidentales.  Un travail bien payé et la promesse d'une retraite confortable.

Smith, le Gaijin, trouve gîte et couverts non loin de la capitale. Il s'imprègne de la culture du pays et apprend les rudiments de la langue grâce aux hommes-singes. Et puis, la voilà. Aika. Déesse orientale, beauté fatale. Une thérianthrope canidé, une Akita. Un simple regard et Smith se retrouva sous le charme. De ce duo se découlera une passion dévorante, une idylle qui durera plus de sept ans. Amour sincère, mais non sans faille. Aika tombe enceinte. Une bonne nouvelle …  si Smith et Aika avaient été de la même espèce. Exit l'affection, il y a avant tout la pérennité de la race qui importait. La « Fée de l’Orient » disparaîtra sans crier gare. De cette union il n'en restera que le fruit : Asca. Un petit gabarit … l'affront est total.

L'enfant est retirée de sa mère et offerte à une famille alliée, le clan Miura. Elle est confiée à Ayame, une esclave. C'est elle qui l’éduquera, subviendra à ses besoins – et aura pour interdiction de parler d'Aika -. Asca grandit dans le mensonge et l'ignorance, c'est une vie de servitude qui l'attend. Enfant, Asca est une vraie teigne. Elle encaisse les coups et fait montre d'un sacré caractère. On tente de la briser. Son dos flanche, mais pas sa fierté.

Quelques années plus tard, Asca devient la propriété de la fille cadette des Miura. Une petite princesse doublée d'un aimant à emmerdes. Entre eux deux ça fait des étincelles, un vrai calvaire, mais Asca ne franchi jamais ladite barrière. L'esclave se plie aux exigences et ... "délires artistiques" de cette dernière et vivra donc auprès d'elle  Des hauts, des bas, un chouette bordel. Mais l'esclave ne cesse évidement de grandir et s'assagit. Elle devient bien plus patience et docile au contact de cette stupide gamine. Il faut admettre qu'il y a quelque chose d'attachant chez cette petite. La Peste l'aborde différemment, elle aussi. Une trêve. Asca dépose les armes et devient bien plus douce et dévouée vis à vis de sa propriétaire. Pendant un temps elle mènera une vie plus ou moins sereine.

Asca a vingt-cinq ans lorsqu'elle est vendue et envoyée au fin fond des landes. Le Manoir Adamovitch manquerait apparemment cruellement d'esclaves et le Clan Miura s'en ai donc délesté de quelques uns pour ainsi entretenir d'anciennes alliances. Une page se tourne. Un autre chapitre commence ...

Quel est ton p'tit pseudo ? Je vous laisse le champ libre
Quel âge as-tu ? Vingt et un.
Comment nous as-tu trouvé ? J'ai rôdé par ici et me suis enfin lancé.
Changerais-tu quelque chose ? *
Quel est le code du règlement ? Validé !
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Ananas.