" L'Homme est un loup pour l'Homme " ~ Kirill Pavlov

Feat : Link - The Legend of Zelda

Nom ; Pavlov Prénom ; Kirill Surnoms ; / Âge ; 21 ans Date de naissance ; 23/11/1890 Sexe ; Homme Origines ; Russes Groupe ; N'a de noble que son gabarit ! Rang ; Résident Orientation sexuelle ; Homosexuel Race ; Atavique canidé, loup de Sibérie, gros gabarit

Caractère
franc parleur - travailleur - dynamique - spontané - généreux

D'un naturel avenant, Kirill a habituellement un fin sourire sur les lèvres. Cependant, ce sourire s'est effacé et ce depuis quelques semaines alors que le traumatisme de se découvrir "homme-loup" est encore bien présent dans son esprit.
Enfant joyeux, il a grandit dans l'amour même si tout n'a jamais était vraiment rose autour de lui. S'en est forgé un jeune homme avec un caractère relativement fort qui n'hésite jamais à dire ce qu'il pense, même si ça peut faire mal... Sa spontanéité pourrait faire penser que Kirill ne réfléchit pas alors qu'en réalité il est simplement naturel.
Alors oui, parfois il sort des trucs sans réfléchir, et souvent ses paroles peuvent être blessantes, mais ça n'est pas pour autant qu'il ne réfléchit pas, et il n'hésite pas à présenter des excuses. Enfin, s'il s'est véritablement trompé ou qu'il juge que c'est nécessaire...
Enfant de paysans, il a très vite du aider ses parents à la ferme. Il en a développé son sens des responsabilités, du travail d'équipe, bien fait et dans les temps. De ce faite, Kirill est relativement bien organisé, ayant toujours eu besoin de planifier ses journées afin d'avoir toujours un moment où, une fois le travail à faire fini il puisse aller jouer avec ses copains.
Kirill n'a jamais rechigné à la tâche, prenant même plaisir à aider sa famille, que ça soit à la ferme ou aux champs. Son dynamisme était plaisant à voir et lui a toujours vallu des compliments, parfois même des récompenses lorsque c'était possible. Cependant, il n'a jamais travaillé pour avoir quelque chose en échange. Elevé à la dure dans la toundra sibérienne, il a très vitre compris que pour bien vivre il fallait se deméner et toujours donner le meilleur de soit.
Cette caractérisque lui est restée, si bien qu'à 10 ans il aurait très bien pu passer quelques jours seul, pouvant très bien s'occuper de lui. Il avait appris à pêcher, à chasser le petit gibier avec des pièges, à prendre soin de son corps. Il savait faire du feu avec des silex et d'autres choses bien utiles si jamais, dans ses longues balades avec ses copains, ils s'étaient perdus.
Enfant d'une grande fratrie, il avait aussi très vite appris à partager et surtout épauler les plus faibles. Lorsque la nourriture venait à manquer, il n'hésitait pas à partager sa ration, déjà bien maigre, pour que les plus affaiblis de sa famille aille mieux. Sa générosité lui est restée et lorsqu'il allait en ville il donnait toujours une pièce ou deux, lorsqu'il en avait, à la veille femme en haillon qui faisait la manche aux abords du marché.
Mais même si Kirill est un jeune homme relativement doux et attentionné envers les autres, il peut tout aussi bien éclater en colère lorsqu'on le provoque de façon injustifiée. Ça lui est même arrivé d'en venir aux poings, même s'il n'a pas gagné toutes ses batailles... Kirill connait la frustration et sait très bien la gérer, mais lorsqu'il est attaqué il n'hésite jamais à répondre. Plus encore si on s'en prend à sa famille ou ses proches.
Kirill est donc un jeune adulte enthousiaste et travailleur, ayant une fois en la vie des plus pures. Pourtant, depuis quelques mois cette joie de vivre est entachée par de lourds secrets qui lui ont fait perdre son sourire. Une angoisse palpable flotte toujours autour de lui alors que sa plus grande peur est de faire du mal à ses proches.
L'animal sauvage et dangereux qu'il devient de plus en plus souvent et ce à la moindre émotion forte, qu'elle soit pisitive ou négative, l'effraie au plus au point et le fait se replier sur lui même. Plus encore, le fait de s'être découvert attiré par les hommes, et non par les femmes, le trouble au plus haut point.
C'est donc un jeune homme plein de craintes mais ayant gardé une lueur d'espoir au fond des yeux qui est parti de chez lui sans aucune explication. S'il avait su écrire et si les siens avait su lire, il aurait laissé une lettre d'adieu...

Du haut de ses 1 mètres 80, Kirill est plutôt filiforme. Relativement maigre du fait de son état de mendiant nomade depuis trois ans, il n'en reste pas moins musclé, n'ayant rien perdu de son travail à la ferme. Le fait est qu'il est de constitution assez solide même s'il n'y parait pas et prouve sa force physique lorsqu'il doit en faire preuve.
Sa peau est plutôt pâle, ayant même quelque chose d'un peu laiteux, l'ayant hérité de sa mère, véritable poupée russe. Il ne s'en est jamais pleind et ne s'en pleindra jamais contrairement à certains de ses frères qui n'aimaient pas cet aspect féminin de leur physique.
De grands yeux bleus qui semblent toujours humides alors qu'au premier abord c'est une infinie tristesse qu'on y lit. Il faut fixer ce regard un peu plus longtemps pour y déceler la fine lueur d'espoir...
Il y a quatre ans vous auriez toujours vu un fin sourire sur ses lèvres et souvent entendu de grands éclats de rire mais ce temps là est révolu. Soucieux, Kirill affiche en permanance une expression angoissée, même s'il n'est pas forcément sur le qui-vive. Elle peut parfois s'atténuer, lorsqu'il se sent en confiance ou en sécurité. Mais si ce n'est pas le cas vous verrez ses sourcils légèrement plissés et un tic nerveux au coin de sa bouche.
Il porte les cheveux mi-longs, pas de coupe bien définie, qu'il attache souvent en queue basse avec ce qu'il trouve sous sa main. Ils sont aussi blonds que ceux de toute sa famille et relativement fin quoique très nombreux.
Vestimentairement parlant Kirill n'a pas d'habits préférés, il n'a jamais eu besoin de faire ce genre de choix, la vie à la ferme ne permettant pas de belles toilettes. Cependant il a plutôt l'habitude de porter des chemises à lacets sur des pantalons de toile, veste en laine bien chaude et bottes de cuir sans âge, sans oublier un bonnet.
Dans sa forme animale il est tout aussi mince, bien que son épaisse fourrure gris très clair soit trompeuse. Ses yeux dont la pupille s'agrandit semblent devenir noirs et il faut bien regarder pour déceler le fin anneau bleu clair tout autour. Sa truffe est noire, ses crocs d'un blanc éclatants sont pointus et ses griffes pleines de terres peuvent faire très mal. Sa queue toute aussi touffue que le reste de sa fourrure ne frétille que très rarement.
Il ne maitrise ni ses transformations ni son aura animale, devenant loup aussi souvent qu'il a de fortes émotions, qu'elles soient positives ou négatives.

Je n'aime pas parler de moi. Mais bon, pusqu'il le faut...

Ma courte vie n'est pas des plus roses mais avec le recul - parce que oui j'ai eu le temps de beaucoup réfléchir ces derniers temps - je n'en changerais absolument rien.
Enfant du milieu dans une fratrie de sept, j'ai aussi vecu avec mes grands parents et une partie de mes oncles, tante et cousins - la vie à la campagne est ainsi en ce début de XXème siècle -. Nous étions donc des paysans de la toundra et la vie était relativement rude en ces temps immémoriaux... - je raconte au passé mais c'est un fait toujours d'actualité -
Notre grande exploitation - au moins nous n'avons jamais manqué de place - est composée de plusieurs champs où nous faisons pousser différentes choses selon les périodes, et de pâturages où nous élevons des chevaux. - à noter que perdu loin dans la Toundra, nous avons eu la chance de ne pas être soumis à l'affranchissement des terres qui avait fait suite à la "révision" de l'état, je vous épargne les détails géo-politique, de toute façon je les connais pas - Les chevaux - des Fjord - servent tant pour le travail à la ferme que pour la nourriture. Je n'aimais pas vraiment ça - d'ailleurs - lorsque venait le temps de tuer deux ou trois de nos plus vieux mais encore tendres poulains et d'aller vendre leur viande... Mais bon, ça rapporte plus d'argent que de vendre des poulets - on en a aussi d'ailleurs, mais c'était seulement pour la famille - et quand vous avez plus de vingt bouches à nourrir et bien, vous ne faite pas la fine bouche, justement...!

La vie dans la toundra était donc relativement dure - enfin je dis ça mais je n'ai rien connu d'autre - et il y avait toujours des milliers de choses à faire. A pour sûr, je ne me suis jamais ennuyé ! Mais je me réservais toujours un temps pour aller m'amuser avec mes copains - frère, sœurs, cousins et cousines en faite -.
Je pense sincèrement avoir bien grandit, même si on manquait souvent, surtout en hiver. Je suis parfois tombé malade - d'ailleurs je ne me souviens pas avoir passer un seul hiver sans un décès dans la famille - mais je m'en suis toujours remis.
Aujourd'hui, je comprend pourquoi, étant en réalité bien plus forts que les miens - enfin je crois... -.

Lorsqu'au détour de mes premiers émois vers 17 ans - déjà troublant lorsque j'ai compris que j'étais était attiré par les hommes - j'ai découvert que je me transformais en loup. Au début, j'ai cru avoir halluciné - alors que le garçon face à moi ne disait rien - mais alors que cela se reproduisait souvent - même en dehors de mes batifolages secrets, notamment au cours de grosse colère ou autre excitation mentale et physique - j'ai commencé à me poser beaucoup de questions.
Etais-je ce que l'on appelle un "loup garou" ? Etais-je malade, avais-je mangé un truc qui n'allait pas, est-ce ma punition pour ne pas aimer les femmes ?!
C'est à ce moment là que j'ai commencé à sombré. - ne vous y trompez pas, je suis très lucide quant à mon statut psychique - Mon angoisse était de plus en plus forte et bien évidement totalement incompréhensible pour mes proches. Je ne pouvais évidemment rien dire à personne et la peur grandissait chaque jour un peu plus - d'autant que personne ne me disait rien alors que je me transformais de plus en plus souvent devant tous -.
C'était surtout la crainte de devenir violent - puisque je ne sais absolument pas contrôler ma transformation - envers mes proches qui m'angoissais le plus. Personne ne semblait remarquer mes transformations, je n'y comprenais rien et sombrais un peu plus chaque jour jusqu'à ce qu'une solution s'impose à moi.

Je devais partir. Quoi qu'il m'en coûte, quoi qu'il en coûte pour ma famille, il fallait que je m'en aille. Que je les laisse et ne revienne jamais en arrière. - cette décision est la chose la plus horrible que j'ai du faire mais je sais que c'était la meilleure chose à faire -
Je suis parti la veille de mon 18ème anniversaire - alors qu'il faisait nuit noir - avec un maigre baluchons et les petites économies que j'avais fait durant les quelques moi qui précédait mon départ. - je ne suis pas fou, il ne fallait pas que je parte sans un minimum d'argent, même si c'était très peu -
A la base paysan, je suis devenu nomade, ne m'arrêtant jamais plus d'une semaine dans un lieu, sillonnant les routes, mendiant ma nourriture et une couche au chaud avec pour objectif de trouver quelqu'un comme moi qui avait la faculté de se transformer en loup. Enfin, faculté... Je ne la maitrise absolument pas - quoi que j'essaye - alors je ne sais pas si c'est le bon mot.
Ça fait maintenant trois ans que je parcours les routes et il y a quelques semaines j'ai entendu parlé d'un endroit - un manoir en faite - qui habite soit disant des personnes ayant le pouvoir de se transformer en animaux.
Est-ce une légende, est-ce vrai...? Je n'en sais rien... Mais le fait est que c'est mon seul espoir et que je suis présentement devant les grilles du dit manoir.

Quelqu'un va-t-il venir m'ouvrir...? Que vais-je découvrir en ces lieux inconnus ?

Quel est ton p'tit pseudo ? Elle Sid
Quel âge as-tu ? 23 ans
Comment nous as-tu trouvé ? Par hasard en me baladant de partenaires en partenaires !
Changerais-tu quelque chose ? Non mais, pitié plus de bug de suppression de compte è_____é
Quel est le code du règlement ? And they we go back~
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Plutôt viande en faite... x)