|| Y U L I A ||

Feat : Anceril Sacred - Mishima Kurone

Nom ; Varnava. Prénom ; Yulia. Surnoms ; Yu'. Âge ; 17 ans. Date de naissance ; 10, Février, 1894. Sexe ; Femme. Origines ; Russe. Groupe ; Esclave. Rang ; Docile. Orientation sexuelle ; Hétérosexuel. Race ; Canidé, petit gabarit, renard gris insulaire.

Caractère
Sadique - Masochiste - Franche - Solitaire - Insoumise.

Yulia. A la voir comme ça, de loin comme de près, on s'attends à trouver une jeune esclave aussi bien timide que soumise. Mais non. Loin de là.

Yulia elle dit non quand ça ne lui plait pas. Quitte à se faire punir par la suite. Elle s'en fiche. Si elle ne veut pas, elle ne veut pas. La douleur, elle ne la craint pas.
Yulia, elle dit ce qu'elle pense. Si elle blesse ? Elle s'en fou. Si il y a quelque chose qui la gêne ou qui lui plait, elle le dit. Les conséquences ? Elle n'y pense pas. Ce n'est pas son problème.
Yulia elle s'attache à personne. Elle a bien compris que dans le monde où elle vivait cela n'en valait pas la peine. Alors, Yulia, elle se lasse de tout très vite. La faisant passer pour une personne indécise.
Yulia, elle aime souffrir. Masochiste ? Oui. La douleur lui fait du bien et lui permet d'oublier qui elle est. D'oublier, qu'elle n'est qu'une pauvre esclave à la merci des nobles. D'oublier qu'elle a une vie rater.
Yulia, elle a beau adorer la douleur, elle aime aussi l'infliger. Que ce soit aussi bien mental que physique. Elle est donc également qualifié de sadique. Mais ça aussi elle s'en fou.

Mais Yulia elle peut également être agréable. Seulement quand elle est triste certes, mais être gentille, elle sait faire. Durant ses périodes, elle devient aussi docile qu'un petit chien bien élevée. Elle ne se soucie plus de rien. Elle n'écoute plus. Elle oublie les gens autour d'elle. Alors quand Yulia est triste, il faut juste laisser faire le temps et la laisser. Parce que Yulia, elle ne se confie pas.

Yulia est belle. Il faut l’admettre. Certains pourraient simplement la classifiée comme étant une « Bombe Atomique », comme d’autres diront qu’elle est  « Vraiment classe » ou simplement « Très jolie ». Mais la vérité est que Yulia est tout simplement belle. Pas la peine de rajouter une tonne d’artifices sur sa peau pour comprendre que la jeune femme est une beauté naturelle. Yulia n’est pourtant pas une fille très spéciale lorsqu’on la regarde de plus près. Non. Yulia est d’une très grande beauté dans sa simplicité. Si elle est classe, si elle est sexy ou autres, elle ne le fait pas exprès. Elle ne fait même pas attention aux remarques ou au regard des autres sur sa personne, l’avis des autres ne compte pas sur ce point, d’après elle. De plus, on ne peut pas dire que sa tenue vestimentaire existe dans le but de plaire au reste du peuple. Loin de là, même. Car la demoiselle  porte les choses qu'on lui demande de porter.

Bien, passons au corps de la jeune demoiselle. Un corps tout en finesse, rappelant celui d’une ravissante ballerine. Des bras minces, ayant juste ce qu’il faut de muscles pour être plus que de simples spaghettis. Sa poitrine, dont la taille correspond parfaitement à son âge comme à sa corpulence, est parfaitement honorable. Un ventre plat, sans aucunes mauvaises graisses. Des hanches qui donneraient, à n’importe quel homme hétérosexuel, l’envie de venir y glisser langoureusement ses mains. Des jambes élégantes, fines et longues, lui donnant la démarche d’une Reine. Au bout de ses bras ; des mains de pianiste se reposent fièrement. Dont les longs doigts, ornés de vernis à ongle sombres, sont toujours prêts à tapoter sur une table pour suivre le rythme d'une musique. L’ensemble de son gracieux corps est recouvert d’une peau d’une blancheur de neige et d’une douceur rappelant celle d’une peau de pêche. Mais la raison est qu’elle supporte très mal le soleil. Elle préfère donc rester aussi blanche qu’une morte plutôt que rouge comme une écrevisse.

Son visage, son si doux et joli visage, maintenant. Reposant sur un cou gracieux, son visage possède des traits de la finesse d’une poupée de porcelaine. Un visage pouvant la faire paraître fébrile, par ses traits féminins et doux. Son visage est tout aussi pâle que le reste de son corps, sauf à l’endroit où se trouvent ses pommettes qui sont légèrement teintées de framboise. Son nez, fin et aquilin, ne trouble en aucun cas l’harmonie de l’ensemble facial. Ses lèvres, pulpeuses, fines légèrement rosées, semblent d’une douceur presque idyllique. Son regard maintenant. Aaaah, clair et doux regard. Pouvant être innocent ou de braise, ce regard est spécial pour celui qui le sent posé sur sa personne. Ses yeux ont la couleur d'une forêt printanière. Maintenant, sa chevelure. Couleur de la neige. Doux, bien entretenue, en bataille ou attachée, elle lui donne de nombreuses formes grâce aux prouesses des coiffeurs de notre époque. Il émane toujours un parfum voluptueux et agréable de celle-ci.

Bref, Yulia est une jeune femme ravissante et naturelle, comme beaucoup d’autres jeunes filles. Bien qu’elle soit unique en son genre.

« Maman, maman… ! Chante-moi encore une berceuse ! »

Dans son lit, une petite fille s’agitait vivement en tenant sa mère par la manche. Sautillant et trépignant sur son matelas malgré l’heure tardive, sa mère ne put refouler un soupir d’épuisement. S’installant sur le lit de la bambine, la jeune femme la borda et installa la peluche favorite de sa petite sur le torse de celle-ci.

« Très bien, très bien… Mais au lit, après ! »

Une exclamation frustrée s’échappa d’entre les lèvres de la plus jeune, sous le regard doux mais strict de sa génitrice. Sa mère leva légèrement sa main, proposant ainsi une poignée de main servant à sceller leur deal.

« Promis… Je veux la berceuse de grand-mère ! »

Elle se résigna donc à faire ce pacte. S’installant plus confortablement dans son lit à baldaquins, entourée de ses peluches aux apparences diverses et variées. Un sourire niais sur son petit visage pâle, la fillette attendait patiemment d’entendre la voix de sa chère mère. Quant à celle-ci, son regard empli de tendresse couvait avec joie le visage de son petit trésor.

« Si c’est celle que tu désires, soit. »

Un sourire aux lèvres, elle fit faire quelques échauffements à sa voix de sorte à ce qu’elle ne soit pas enrouée. Sous les yeux émerveillés de sa fille, qui ne cessait de souhaiter chaque jour dans un futur lointain, pouvoir ressembler à la femme l’ayant mise au monde. Belle, grande, élégante. La réincarnation de la perfection pour la bambine qu’elle était.

« Colchiques dans les prés fleurissent, fleurissent… Colchiques dans les prés, c’est la fin de l’été… »

La voix s’élevait dans la pièce, douce symphonie que voilà. La plus jeune s’empresser de suivre les paroles avec grand intérêt, tentant de chanter aussi bien que la plus âgée. Chanson d’une extrême mélancolie, l’arrière-grand-mère de la fillette l’apprit à sa fille qui elle-même l’apprit à la mère de notre jeune bambine. Cette chanson, lourde en émotions, arrachait toujours des larmes à la grand-mère de la petite fille. Larmes montrant aisément les souvenirs d’une vie bien remplie. La petite, connaissant les paroles désormais par cœur, s’empressa de chanter le refrain avant sa génitrice.

« La feuille d’automne, emportée par le vent… en ronde monotone, tombant tourbillonnant… »

La mère, termina la chanson toujours avec cette même voix. Douce, agréable, emplie de tendresse. Puis déposa avec une extrême délicatesse, comme pour embrasser les ailes fragiles et précieuses d’un papillon, un baiser sur le front de son trésor. Se levant, elle se dirige ensuite vers la porte, s’arrêtant sur le pas de celle-ci pour observer l’amour de sa vie, somnolente dans son petit lit de princesse. Eteint la lumière d’une main de velours, souhaite une dernière fois bonne nuit à la prunelle de ses yeux, puis sort silencieusement de la pièce…

L’Histoire s’arrête ici. Le reste est perdu dans les décombres d’une bâtisse devenue poussière. Souvenirs perdus dans les flammes, larmes devenues cendre au fil des années. Vous voulez savoir ce qu’il s’est réellement passé ? Dans ce cas, il vaut mieux demander directement à la concernée. Même si je doute qu’elle vous réponde un jour. Ayant enfoui au plus profond de son cœur ces évènements.

Pourtant, il arrive parfois de l’entendre murmurer d’une voix perdue, accompagnant la brise ;

« La feuille d’automne, emportée par le vent, en ronde monotone, tombant tourbillonnant… »

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L'enfant marche dans la neige. Il a froid. Il est seul. Au loin, il aperçoit une lumière. Il s'en approche. Ses parents lui avaient dit un jour en passant qu'ici se trouvaient des gens comme eux mais qu'il ne fallait s'en approcher qu'en cas d’extrême urgence.

Alors la petite fille elle avance sans savoir où elle va. Sans savoir qu'elle est elle même en train de ruiner sa vie.

La porte est haute. Elle n'atteindra jamais les lourds battants. Alors elle s'assoit devant et elle attend. Les heures passent sans que personne n'arrive. La petite se met à pleurer. Elle a peur. Elle a froid. Elle a faim. Elle est seule.

Bientôt, la fatigue l'emporte sur le reste. Elle se roule en boule et c'est un petit renard gris qui prit place.

Un homme sort du manoir. Sans rien dire, il saisit le petit être et retourna à l’intérieur. Les portes se refermèrent dans un bruit sourd. C'était la dernière fois qu'elle voyait le monde du dehors.

Quel est ton p'tit pseudo ? On me connait sous le nom de Laulkhel.
Quel âge as-tu ? J'ai 19 ans et des poussières même si on pourrait croire que j'en fais 16... L'immaturité c'est cool :3
Comment nous as-tu trouvé ? Grâce aux tops-sites.
Changerais-tu quelque chose ? Nop'.
Quel est le code du règlement ? Swedt dreams a made of this...
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Hum... fraise ?