Roza Kachirine - [100 %]

Feat : Hannah Anafeloz - Kuroshitsuji

Nom ; Kachirine. Prénom ; Roza. Surnoms ; Aucun. Âge ; 33 ans. Date de naissance ; 10/02/1878. Sexe ; Femme. Origines ; Russe. Groupe ; Domestique. Rang ; Domestique - Docile. Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle à tendance bi. Race ; Canidé – samoyède – moyen gabarit.

Caractère
Fidèle, efficace, franche, maternelle, masochiste.

En tant que domestique, j'estime que la fidélité est une part importante de mon quotidien. Je respecte mes maîtres et leur sont dévouée corps et âmes. Je serais efficace dans les tâches que l'on me confiera et tenterait d'être à la hauteur pour autant être une domestique, qu'une amie. Je suis affectueuse dans les bons comme les mauvais moments, tout en sachant garder une distance convenable. J'aime beaucoup les enfants, je me considère donc comme très maternelle. Je prendrais soin des personnes m'entourant. Je crois pouvoir dire que je suis charmeuse et séductrice, bien que lorsque je le suis, je ne m'en rend pas compte. La franchise est maître mot de mon caractère. Bien que la vérité puisse faire mal, on peut faire d'autant plus mal en sachant la vérité, c'est pour cela que je ne vous cacherais rien de mes pensées. En parlant de faire mal, je me considère comme... masochiste. Mais chhhht, je ne m'en doute pas encore. La souffrance me fascine inconsciemment, pour le plus grand plaisirs de mes maîtres. Je ne suis pas, ou peu rancunière. Quel que soit le mal que l'on puisse me faire, ma colère n'en sera que très courte, tout comme le sentiment d'en vouloir à la personne. Autrement dit, je pense et espère une domestique parfaite, tout comme on me l'a enseigné, depuis mon plus jeune âge. Mon plus grand plaisir, est de vous servir.

Je suis une femme d'un mètre soixante douze pour cinquante-deux kilos. Mes cheveux sont longs, lisses et d'un blond platine tirant sur un blanc aux reflets violets. Si, par hasard, il vous prend l'envie d'y passer une main, ce sera une caresse qui s'y déposera. Ma peau est en contraste avec mes cheveux puisqu'elle est foncée, tout comme mes ancêtres provenant des anciennes tribus du cercle polaire. Elle est cependant veloutée, aussi douce que de la soie tout comme ma chevelure. Mes yeux sont grands et bleus, s'accordant avec cette dernière puisqu'ils tirent sur un très léger violet selon la luminosité. Mes courbes sont, semble-t-il, généreuses, puisqu'elles attirent bon nombre de nobles qui tentent de s'y perdre. Mon corps quant à lui, est parsemé de cicatrices sur son intégralité car, les châtiments corporels laissent des marques, bien entendu et sont les plus efficaces, n'est-ce pas ? Mes mains, nous pourrions les qualifiées de "mains de pianiste" car elles sont fines, tout comme mes doigts longs et osseux. Bien que je puisse offrir de doux sourires à de rares moments, mes lèvres fines restent souvent statiques, tout comme mes expressions du visage. Quel intérêt de montrer ce que l'on ressent ? Je ne suis pas ici pour cela. Servir quelqu'un n'en nécessite pas.

Je me souvenais encore du jour où l'on me présenta à Madame Eva Adamovitch pour la première fois. C'était un jour glacial, plus glacial encore que d'habitude. Le jour de mes sept ans, le 10 février 1885. Depuis ma naissance, on m'avait apprit les rudiments du métier de domestique afin de me façonner à être parfaite pour ce poste car, la longue lignée dont je provenais avait toujours servit cette famille et ce, depuis des siècles. Ce jour était enfin arrivé. Madame était âgé de quatorze ans, ce qui faisait d'elle de sept ans mon aînée. Ce qui me marqua le plus ce jour-ci, c'est qu'elle me dépassait déjà d'une ou deux têtes. Sa peau était si pâle que je la croyais en porcelaine. Ses longs cheveux d'un noir corbeau accentuait sa pâleur. Si certains la trouvait impressionnante au point de la craindre, mon sentiment premier fut de la trouver magnifique. Magnifiquement impressionnante certes, mais si belle. Une beauté froide, dure. Elle m'inspirait aussi la crainte mais elle me fascinait tout autant. Lorsque ses yeux rougeâtres se posèrent sur moi, je compris rapidement que j'étais prise au piège. Je lui serais dévouée corps et âme et ce, jusqu'à mon dernier souffle. Un sentiment compliqué se développa au fil des ans. A mes yeux, elle était devenue une amie, mais aussi bien plus que ça malgré le fait que ce sentiment ne semblait pas être partagé. Ce fut lorsque je commençais à être formée comme une jeune fille que Madame commença à s'intéresser à moi bien plus que comme sa domestique. Je devais avoir treize ans le jour où elle posa un regard différent, dérangeant et pourtant tant souhaité sur moi. C'était un soir, je l'aidais, comme à mon habitude, à la changer pour la nuit. J'observais ses courbes discrètement, l'enviant follement. C'est ce soir là où elle déposa son premier baiser sur mes lèvres chastes et vierges. Je ne devais rien dire, rien faire. J'étais partagée entre l'idée de fuir et de rester. Cette dernière pensée prit le dessus sur la première. Ce fut la première nuit de beaucoup d'autres. J'aimais Madame d'un amour profond, sincère mais toujours ambigüe. Je n'étais pas sûre de vouloir tout cela. Mais je me devais de lui obéir. C'est à l'âge de quatorze ans que l'on m'annonça ma grossesse. Un enfant illégitime de Madame et moi. Lorsque Madame Eva l'apprit, elle brisa mon cœur en me reniant, moi et notre enfant. Je devenais alors la domestique de toute la famille Adamovitch, n'ayant pas de maître attitré. Je gardais toujours un œil sur Madame, tandis que mon ventre s'arrondissait. Je tentais d'attirer son attention, sa jalousie en me laissant faire, tout comme avec elle, avec d'autres de mes supérieurs. Bon nombre de nobles profitaient de cette situation pour louer mes services le temps d'une journée, d'une soirée, d'une nuit... Je passais pour une putain aux yeux de tous, et bientôt aux miens. C'est à mon sixième mois de grossesse que je perdis l'enfant que je portais, tandis que je m'étais moi-même perdue dans mon chagrin. C'est à partir de ce moment qu'inconsciemment, je cherchais la douleur où je pouvais la trouver. Je ne me rendais, et ne me rends toujours pas compte, que je faisais parfois en sorte de mal effectuer une tâche que l'on m'avait attribuée, tout cela pour être châtiée. Certains des amants qui louait mes services, n'étaient pas des tendres, et c'était eux à qui je donnais la priorité d'exploiter mon corps. Je me force encore à croire que c'est l'obligation de mon rang qui me pousse à faire cela, alors que j'en tire un douloureux plaisir. C'est peut être pour cela que je ne me restreint pas à avoir qu'un seul et unique maître...

Quel est ton p'tit pseudo ? Roza Kachirine.
Quel âge as-tu ? 18 ans.
Comment nous as-tu trouvé ? Via les partenaires.
Changerais-tu quelque chose ? Je n'oserais pas. ~
Quel est le code du règlement ? Validé !
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Les deux sont tentants. ~