Maomi Jiantan, pour vous servir [En cours]

Feat : Misaki Ayuzawa - Kaichou Wa Maid-Sama

Nom ; Jiantan Prénom ; Maomi Surnoms ; Mao, Qiu (signifie "boule" mais le premier qui m'appelle comme ça je le croque) Âge ; 21 ans Date de naissance ; 10 Août 1890 Sexe ; Femme Origines ; Chinoise Groupe ; Domestique Rang ; Docile uniquement avec les puissants Orientation sexuelle ; Pansexuelle Race ; Félidé, moyen gabarit, chaus

Caractère
Possessive, hypocrite, loyale, patiente, orgueilleuse.

Psychologie... Je dois donc parler de moi ? Du foutoir qui règne dans mon crâne ? Soit. Certain me nomme "hypocrite" mais je préfère le terme "opportuniste". Je m'explique rapidement : peu importe la situation, la personne, l'action, etc, si je n'ai pas d'intérêt personnel dans l'histoire alors vous pouvez vous brosser, faire cuire des cailloux ou danser la valse avec ma grand-mère (vu son état actuel, bon courage) je m'en ficherais comme de ma première poupée. Dans le cas où vous êtes un des puissants de ce monde (ce monde pouvant aisément désigner ce joli manoir comme la planète entière, je ne suis pas difficile) alors, vu que mon intérêt est bien sûr de vous obéir et de vous être agréable, vous aurez ma fidélité. Oh, il est évident que les coups dans le dos ça ne me dérange pas, après tout, si l'autre ne m'est plus utile, pourquoi ne le trahirais-je pas si j'y gagne quelque chose ? Et puis, qui se fiche des faibles ? Ce monde fonctionne comme dans la jungle, la loi du plus fort. Je suis née faible, on me l'a toujours rappelé, ma survie dépend donc de ma capacité à me placer sous la protection des gros gabarits et tant pis si l'on me considère comme une parjure ou une garce.
Depuis toute jeune, j'ai servi et j'ai donc appris la loyauté vis à vis des maîtres. Ma loyauté peut être poussée à l'extrême, je ferais tout pour mon maître, ma vie est entre ses mains et je la donnerais volontiers pour lui. Cela peut paraître contradictoire avec ce que j'ai dit plus haut, ma mort n'étant pas dans mon intérêt, mais j'ai été éduquée comme ça, c'est ancré en moi. On peut dire que c'est limite naturel, mon maître passera toujours avant tout, même avant un plus puissant si leurs ordres se contredisent. Cette loyauté quasi maladive a un autre gros inconvénient, mon maître est MON maître. A moi. On ne blesse pas mon maître, on ne manque pas de respect à mon maître et surtout on ne s'approche pas de trop près de mon maître (y a des exceptions comme les gros gabarits, je ne suis pas suicidaire tout de même)
Malgré ma patience (tout vient à point à qui sait attendre non ?) il y a un autre sujet qui peut me faire sortir de mes gonds (autre que mon maître bien entendu) c'est les critiques sur ma fourrure sous ma forme animale. Oui j'ai été grosse étant petite et OUI ma fourrure en a gardé la trace mais NON je ne suis. PAS. GROSSE ! C'est la fourrure qui est bouffante !

Si les gens que je côtoie devaient se souvenir de moi ce ne serait certainement pas pour mon physique. Je suis jolie dans la banalité. La personne moyenne par excellence : taille moyenne, poids moyen... Que je donne un peu plus de précisions ? Comme vous voulez. Je mesure environ 1m60, peut être un peu plus, non je ne donnerais pas mon poids. Une femme ne donne pas son poids ! Bref, j'ai de longs cheveux noirs qui peuvent paraître bruns au soleil, de temps en temps, lorsqu'ils me gênent, je les attache le plus souvent en queue de cheval. En règle générale, je les laisse détachés. Que dire d'autre ? J'ai un visage fin, assez souvent souriant même si ces sourires sont régulièrement factices. Mes deux yeux noisettes sont des vestiges d'origines occidentales d'après ma mère.
Depuis que j'ai été domestique chez un marchand anglais, j'ai l'habitude de m'habiller avec les tenues types occidentales de bonnes. Bien sûr ce ne sont que des tenues de travail et dans le privé ou les jours de repos je m'habille plus sobrement. Je n'ai pas de goûts particuliers pour la mode alors je porte des vêtements simples et confortables avec des couleurs variées. Je vous l'avais dit : banale.
Là où je me distingue c'est que je suis née muette. Il a donc fallu trouver un moyen pour que je puisse m'exprimer, c'est pour ça qu'on ne me verra jamais sans mon carnet de phrases prédéfinies et mon ardoise pour écrire celles que je n'ai pas pré-écrites dans mon calepin. Oui, mon nom de famille est très ironique... Le destin a quand même de l'humour parfois.

Ma vie n'a rien de vraiment original. Si vous cherchez la petite soubrette au passé traumatisant, violée par son frère, abandonnée par sa famille qui a atterri ici en cherchant un endroit pour s'abriter du froid, allez ailleurs.

Mes parents, deux thérianthropes félins, ne se sont jamais aimés, ils sont tout au plus des amis mais un réel couple formé par amour, non. La faute à un mariage arrangé, il fallait bien marier ma mère un jour, dernière d'une fratrie de cinq filles. Pas un seul oncle du coté maternel du coup. Enfin, elle est tombée sur un homme (mon père en l’occurrence)  qui possédait quelques rizières et qui au moins ne la battait pas. C'était une vie heureuse d'après eux, du moins supportable, ils eurent mon frère puis ce fut mon tour. Je crois que c'est ma naissance qui a un peu tout gâché. Une fille. Muette. J'ai eu l'audace de naître femelle et non mâle, vous imaginez le culot que j'ai eu ? Une fille ça coûte cher et ça rapporte peu. Oui, le fait que je sois née muette ne les a pas dérangé, je faisais moins de bruit et je ne me plaignais pas. Pire encore, j'étais frêle, je le suis toujours cela dit, et le travail aux rizières était trop dur pour moi, mes parents m'ont alors vendue à un noble occidental et un peu excentrique installé en Chine.
Il m'apprit l'anglais et l'alphabet occidental, les manières que devait adopter une domestique et surtout la loyauté envers le Maître de la maison. Je vécus chez ce noble jusqu'à sa mort soit durant la plus grosse partie de ma vie. En rentrant chez mes parents, il se posa de nouveau la question "Que faire de moi ?". Un mois, s'écoula puis deux....puis une année. Enfin, alors qu'ils désespéraient de me voir partir un jour, un ami de mon père lui rapporta qu'un riche manoir perdu en Russie recrutait des domestiques thérianthropes. Ni une ni deux ils me mirent à la porte avec assez d'argent pour m'y rendre et toutes mes affaires dans mon petit baluchon.

J'ai marché longtemps, longtemps. Dans le froid et la neige. Non, en fait j'ai pris le train, bêtement, puis une calèche m'a déposée devant les grilles. Dit comme ça, ça fait moins émouvant. Me voilà donc devant ce qui sera mon dernier emploi : le Manoir Adamovitch...

Quel est ton p'tit pseudo ? Tullype
Quel âge as-tu ? 18 ans
Comment nous as-tu trouvé ? C'est un reroll mais à la base c'est la faute à Chaton !
Changerais-tu quelque chose ? Oui ! La domination aux dom/esclaves ! //SBAFF !// Aïe-euh...
Quel est le code du règlement ? Validé !
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Fraise, tarte aux fraises, glace à la fraise, fraise-chantilly... J'ai faim (°-°)