Viens que je te raconte une histoire~ Alexei L. Vasco

Feat : Jinguji Ren - Uta no Prince-sama

Nom ; Vasco Prénoms ; Alexei Ludwig Surnoms ; Aucuns pour le moment Âge ; 25 ans Dâte de naissance ; 3 juin 1886 Sexe ; Homme Origines ; Français / Italien Groupe ; Domestique Rang ; Plus ou moins docile dirons nous Orientation sexuelle ; Homosexuel Race ; Canidé / Dingo / Moyen gabarit

Caractère
Beau parleur / Manipulateur / Intelligent / Franc / Possessif

C'est la démarche souple que je me dirige vers toi, apprécie parce que j'ai mis un temps fou à parvenir à ce résultat, et d'un regard emplit de tentation je murmure de tendre paroles. L'on me dit souvent que je suis un beau parleur. Plait il ? Je sais simplement manier les mots à mon avantage. Ils sont tellement utile, surtout lorsque l'esprit face à moi est plus faible. Mais j'aime à me considérer comme un charmeur. Sûrement que je tiens ce trait de mon père, allez savoir. Mais tout en moi inspire l'envie, ne trouvez vous pas ? Oui, je peux paraître un peu orgueilleux, mais nous le sommes tous un peu. La fausse modestie règne en maître où que ce soit.
Je suis une personne assez, pour ne pas dire très restons un peu modeste quand même, intelligent. Et je me cultive en lisant dès que me le permet mon emploi du temps. Ce que j'enregistre, reste dans mon esprit. Imaginez, un mur couvert de petits rangements. C'est un peu ainsi qu'est organisé mon esprit. Les informations sont ''rangées'' et ''stockées'' dans ma mémoire pour le long terme. C'est peut être grâce à ça que je suis devenu manipulateur. Pas autant que certains, assez perfides, mais suffisamment pour avoir ce que je veux ou faire adhérer un autre à ma pensée.
La franchise est, je le penses, ma plus grande qualité ; mais aussi, un gros défaut. Et oui, je l'avoue. Peu importe la personne devant moi. Un problème ? Une remarque ? Même si ce que j'ai à dire déplaît, je le dit quand même. Pas d'hypocrisie chez moi. Et je la supporte que très peu chez les autres.
Je ne devrais pas l'être vu mon rang, mais ma possessivité prend pas mal de place dans ma personnalité. Comment ça je ne suis qu'un domestique ? Et alors ? Ce qui est à moi, est à moi ! Ne vient pas te plaindre si tu ose me subtiliser ce qui m'appartiens. Que ce soit mon futur maître ou esclave. Que ce soit un ami, ou ce qui s'en rapproche le plus, ou encore quelque chose de matériel. L'idée qu'un autre touche ce qui est à moi m'insupporte. Je peux parfois, lorsque vraiment je ne parviens plus à me contrôler, devenir violent. Mais souvent, je garde mon sang froid. Ayant des limites assez larges.

Comment je suis ? Cela t'intrigue, n'est ce pas ? Mon corps est parfaitement proportionné. Je fais 1m75 pour 78kg. Autant dire que je ne suis ni trop mince ni trop gros. Parfait quoi ! Les traits de mon visage sont finement dessiné, mais attention pas féminin pour autant. Il ne manquerait plus que ça que je ressemble à une femme ! Je porte mes cheveux blond vénitien mi longs, arrivant aux épaules. Des yeux de taille moyenne et d'un bleu plus clair que la mer du Sud. Si tu descend un peu, tu verra un nez légèrement retroussé, il paraît que ça donne un côté charmeur. Puis, plus bas encore, tu tombe sur mes lèvres. Fines, d'une douce couleur pêche. Essaye de ne pas trop les fixer, lorsque je viendrais les humecter. Et enfin, pour terminer mon visage, un menton à peine dessiné en pointe. Continuons la ''visite'', en espérant que tu apprécie. Mes épaules sont juste carré comme il faut, comme un homme normalement bâti. Mon torse, finement musclé et mes mains sont assez banales. Mes doigts sont un peu longs et fins, ce qui est fort pratique pour jouer du violon, mon instrument de prédilection.

Pour ce qui est de ma tenue vestimentaire, tout dépend de ce que je fais. Si je suis le précepteur, alors je me plais à porter chemise unie, pantalon et veste noire. Une paire de lunette sur le nez, pas très utile pour ma vue, mais qui me donne un air sérieux que j'aime beaucoup. Et lorsque je suis le simple domestique, je porte pantalon noir, chemise et parfois une veste ou un boléro. La différence la plus flagrante entre les deux est cette cravate de couleur différente que je glisse à mon cou chaque jour. Je ne porte pas non plus mes lunettes.
Je porte toujours, une boucle d'oreille à gauche. Une perle noire.

Et enfin, ma forme animale. Enfin, mon aura devrais je dire. Étant un canidé, je ressemble forcément de près ou de loin, à un chien. Mon poil est entièrement roux et je vous assure que même ainsi, je suis plutôt sexy. Voulez vous savoir la particularité de ma race ? Je n'aboie pas, j'éternue. Et oui, alors mon maître pourra toujours attendre les grands jappements. Déjà, ce n'est pas pour moi et en plus, j'en suis incapable.

3 Juin 1886 ~ 5h du matin

Un hurlement raisonna entre les murs d'une chambre. Une femme. Des cris de douleur. Moment atroce autant pour elle que pour les autres habitants de la maison. Cette femme, une thérianthrope, mettait au monde son enfant. Une canidé, un Dingo plus précisément. Intérieurement, alors qu'elle poussait avec force son petit vers la sortie, elle priait. Elle implorait en elle que son enfant lui ressemble. Car s'il ressemblait à son père, elle serait perdue.. Après un long travail éprouvant pour la mère comme pour ceux qui l'accompagnaient dans cette expérience, le cri d'un nourrisson se fit entendre. Il ouvrit les yeux et elle laissa échapper un gémissement presque désespéré. Bleus. Ses yeux étaient bleus ! Aucuns dans sa famille ou celle de son époux, aucuns ancêtres n'avait les yeux bleus.. Tous, ils ne mettraient pas longtemps à comprendre. Elle en était sure. Elle se mit à pleurer, mais tous prirent ça comme une crise post natal. Son nom fut choisi par son père. Alexei.

19 Août 1889 ~ Dans le jardin du domaine

Le jeune garçon avait trois ans maintenant. Ses cheveux était d'un superbe blond vénitien. Mais sa mère ne cessait de lui répéter que c'était une couleur horrible. Qu'elle n'aimait pas. Alexei ne comprenait pas.. Alors il gardait souvent sa chevelure couverte lorsqu'il se trouvait avec sa mère.
Ce jour là, il jouait dans le jardin sous le regard de son père. Celui ci était un reptile. Un crocodile du Nil et un poids lourd. Autant dire que quand il était de mauvaise humeur, il faisait peur à Alex. Alors il ne bronchait pas et fixait ses jouets, sans un mots. Il finit par se lasser et regarda autour de lui. C'est alors qu'il vit sa mère approcher. Elle ne le regardait même pas. Sans vraiment comprendre ce qui se passait, il devina simplement que c'était une dispute entre les deux adultes. La femme repartit, les larmes aux yeux.

25 Août 1889 ~ Devant la maison

Il ne comprenait pas. Pourquoi elle partait ? Et sans lui en plus ! Avait il donc été un si mauvais fils pour qu'elle ne veuille plus de lui ? Sa grand mère souffla dans son dos :

« De toute façon, elle le détestait depuis le jour de sa naissance. Bon débarras. Je ne voulais plus de cette femme chez moi. »

Encore trop jeune. Il n'avait aucunes idées de ce que disait la vieille femme. Mais Axelei, du haut de ses trois ans, il voyait le départ de sa mère comme un abandon.

9 Septembre 1895 ~ Dans sa chambre

Quatorze ans. Son père lui répétait souvent que à cet âge là, il pourrait comprendre ce qui c'était passé. Durant toute ses années, il en avait voulu à sa mère de l'avoir délaissé. De n'avoir jamais prit de ses nouvelles. Il avait grandit dans l'amour de sa grand mère qui le considérait comme son véritable petit fils et avec son père et l'indifférence totale de celui ci pour ses origines.
Ce jour là, il apprit la vérité. Que sa mère n'avait pas respecté la fidélité due à son époux. Qu'elle avait été se traîner aux pieds d'un autre poids lourd, prétextant qu'elle avait été attirée malgré elle.. Un loup. Elle avait simplement été attirée par une race cousine de la sienne.. Mais en donnant naissance, elle avait haït son enfant en voyant qu'il ne ressemblait pas à son mari. Sa propre chaire ! Elle aurait voulu le faire disparaître. Elle avait eut une autre chance, donné par l'homme et la grand mère. Mais elle n'avait pas su en profiter et elle avait été poussée à la porte de la maison. Son père lui parla ensuite du Manoir des Adamovitch. L'entrée n'y était pas simple, mais qu'il pourrait y aller si il travaillait dur. C'était un endroit où il pourrait vivre bien et sans soucis.
Cependant, étant un gabarit moyen, il ne pourrait y rentrer que comme domestique. Alexei était déçu de ne pas être un gros gabarit et il rejeta aussitôt la faute sur sa main qui elle était un moyen. Il se mit inconsciemment à la détester et se promit de ne jamais lui ressembler.

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Les années passant, il eut une éducation des plus correcte. Apprenant à jouer du violon et du piano, mais l'instrument à cordes restant sa préférence. Il étudia avec assiduité, se cultivant autant qu'il le pouvait. Il apprit les bonnes manières, les différentes façon de se tenir et surtout, il changea sa démarche. Elle ressemblait trop à celle d'un chien sur ses garde. Alors il avait redressé son dos et relevé la tête. Puis avait apprit petit à petit à marcher avec souplesse. Il se sentait presque fort ainsi. S'appliquant à devenir l'opposé parfait de sa génitrice. Son père en était fier. Lorsqu'il devint précepteur, il le félicita et lui annonça qu'il était prêt. L'année suivante, il se rendrait au manoir. A coup sur, ils le prendraient. Alexei pouvait être un bien précis de par son savoir et son éducation.

21 Janvier 1911 ~ Devant le Manoir Adamovitch

Il touchait enfin son but du doigt. Il ne lui manquerait plus que de trouver un maître. En espérant ne pas trop subir. Ce n'était pas dans ses habitudes. Son violon dans une main et un sac dans l'autre. Il pénétra dans le manoir..

Quel est ton p'tit pseudo ? Alexei
Quel âge as-tu ? 22 ans et bientôt 23
Comment nous as-tu trouvé ?Je connais quelqu'un qui m'a demandé plusieurs fois de venir ici pour la rejoindre x)
Changerais-tu quelque chose ? Rien~
Quel est le code du règlement ? Tu vas me rendre dingo~ /SBAF/
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ?Banane ? 8D * sort bien loin *