Lenz Heinonen

Feat : Kau - Togainu No Chi

Nom ; Heinonen Prénom ; Lenz Surnoms ; / Âge ; 19 ans Dâte de naissance ; 23/11/1892 Sexe ; Androgynus d’apparence mâle Origines ; Allemandes et finlandaises Groupe ; Esclave Rang ; Docile Orientation sexuelle ; Homosexuel Race ; Canidé - spitz finlandais - petit gabarit

Caractère
soumis – docile – masochiste – ingénu - instinctif

« Animal » résumerait parfaitement le caractère de Lenz alors qu’il a été pour ainsi dire dressé dès son plus jeune âge. Il a la loyauté du chien qu’il est et le caractère soumis de l’animal peureux.
« Ingénu » dans l’inexistence du bien et du mal, du dangereux. Il ne connaît absolument pas la réalité vraie alors qu’il a été élevé dans le seul but de servir corps et âme son futur maître. A noter que le bandeau sur ses yeux lui empêche de voir ce monde dont il ne connaît que les bruits, les odeurs, le goût et le touché. Seul son maître aura le droit de retirer ce bandeau mais si cela arrive un jour il se peut que Lenz soit totalement déstabilisé lui qui ne connaît que le noir.
« Docile », il est tout à fait naturel pour lui d’accéder à tous les désirs de son maître, quels qu’ils soient, quel qu’en soit le prix à payer. Il n’a aucune notion de ce qu’est que l’humiliation, la honte, les critiques glissent sur lui comme s’il ne les comprenait pas. Seules comptes les paroles de son maître et Lenz fera tout pour le satisfaire. Ce qui lui importe le plus est d’avoir de l’attention, même s’il est rudoyé, même s’il est frappé, il existe par ce geste dans le regard de l’autre.
« Masochiste » on pourrait dire ça en effet. La douleur le fait se sentir exister et le fait qu’on le frappe prouve qu’on lui porte un certain intérêt. Qu’il soit négatif ou positif. Lenz apprécie tout autant une simple caresse, une friandise. Tant qu’il y a quelqu’un pour s’occuper de lui, sous n’importe quelle forme, il se sentira comme redevable.
« Soumis » et irrémédiablement dominé, si on le puni ou on le gronde, il ne remettra jamais en question ce qu’on lui a dit. Bien au contraire, il baissera la tête et se fera tout petit, car il le mérite. Après coup, il fera tout pour s’améliorer et cherchera à tout prix à se faire pardonner. Et s’il doit pour cela écarter les cuisses, il le fera, non sans un certain plaisir.
« Satyarsis » sur les bords, se faire baiser est pour lui la récompense ultime. Que ça soit dans la douceur ou la violence, Lenz en tire toujours du plaisir. C’est le seul moment où son corps semble totalement en vie, où l’adrénaline coule à flot dans ses veines et où l’on entend véritablement sa voix.
« Muet », c’est ce qu’on pourrait croire alors qu’il ne s’exprime quasiment que par geste ou sons à peine audibles. Son langage corporel est très expressif, de même que les mimiques de son visage. Il n’est absolument pas rare de voir apparaître ses oreilles canines, ou même sa queue, ce qui appui ses expressions. Très rares sont ceux à l’avoir entendu dire une phrase complète, Lenz aura plutôt tendance à chuchoter lorsqu’il doit parler.
« Drogué » dès son pus jeune âge pour parfaire son éducation, ses créateurs ont testé sur lui différentes drogues avant de conclure sur les benzodiazépines. Ces substances, normalement utilisées dans le traitement de la dépression, provoquent chez Lenz un état de tranquillité absolue et le rend totalement malléable. Lenz est complètement dépendant de cette substance et lorsqu’il en est privé c’est son instinct animal qui resurgit. C’est pour lui la punition ultime et c’est dans ces moments là qu’on lui met et attache solidement une barre entre les dents pour l’empêcher de mordre.

Si vous voulez faire plaisir à Lenz, rien de mieux qu’un morceau de sucre ou une friandise. Passer votre main dans ses cheveux et il frétillera de contentement. Pour des moments plus intimes n’hésitez pas à prendre un bain avec lui, Lenz adore l’eau.

Né et conditionné expressément pour être un esclave de qualité, Lenz est donc un être totalement soumis qu’il est très facile de manipuler. Pourtant s’il succombe aux auras des gabarits plus importants que le sien, il arrive à relativement résister à certains petits gabarits.
En effet, lors de mélanges de races pour créer Lenz, il est apparu que l’aura animal de Lenz n’était pas tout à fait un petit gabarit. Son animal, le Spitz Finlandais, aurait pu être vu comme un semi-moyen gabarit. Cependant, son éducation ayant été prise au berceau, il reste aux yeux de tous, un petit gabarit dans son comportement totalement docile.
Son aura est celle d’un petit gabarit au regard des thériantropes plus gros que lui mais, certains esclaves à l’animal plus petit que le sien pourraient se sentir assez troublés par la présence de Lenz près d’eux. Cependant, Lenz n’use jamais consciemment de son aura, d’ailleurs il n’en a absolument pas conscience car il a été élevé dans le seul but de servir un maître et d'obéhir aux ordres qu'on lui donne.

█ Taille || 1m70 █ Poids || 55kg █ Pointure || 38 █ Vêtements || haut en vinyl noir à manches longues s’arrêtant au dessus de ses pectoraux et laissant apparaître tout son torse, pantalon de la même matière, taille basse et bottes à plate forme avec lanières toutes aussi noires

█ Yeux || bleu très clair █ Cheveux || blancs █ Peau || pâle █ Particularité || des anneaux aux tétons et sur le ventre à la manière de mamelons canins, une énorme cicatrice en forme de croix sur le buste ainsi qu'un bandeau noir sur les yeux

Outre sa tenue de masochiste tout de cuir et de vinyle vêtu, Lenz est facilement repérable par son éclatante tignasse blanche.
Autrefois blond pur, ses cheveux avaient déteint alors que son esprit et son corps s’avilissaient. Une réaction psychosomatique suite aux mauvais traitements qu’il avait reçut. Mais Lenz ne connaissait plus son visage bien avant que ses cheveux ne deviennent blancs.
De consistance fragile, il est étonnamment grand pour quelqu’un n’ayant pas toujours eut une alimentation suffisante. Il a quasiment la peau sur les os et les fins muscles d’une personne maigre.
Sa peau, tout comme ses cheveux, est très pâle, du au manque de lumière, et marque très facilement. Les parties plus intimes, dont sa bouche et ses tétons, sont d’un rose tendre, appelant à la luxure.
Il a les yeux très pâles et encore plus sensible alors qu’il a été très tôt privé de lumière. Le bandeau qu’il porte lui est indispensable, le protégeant de ces rayons qu’il ne connaît plus et qui ne lui apporte plus que souffrance.
Vous pourrez le voir certaines fois avec un barreau entravant sa mâchoire. On le lui met les jours où, punit de sa drogue quotidienne, cet appareil l’empêche de niacker. Certes, Lenz n’a jamais plus mordu depuis le jour où il a reçut la cicatrice barrant son buste mais comme on dit, mieux vaut prévenir que guérir.
Cette énorme croix sur son buste ne disparaîtra sans doute jamais et fait ainsi partie des choses qui se remarque au premier abord chez Lenz alors qu’il a le buste tout le temps découvert. On peut d’ailleurs aussi y voir les six anneaux, plantés dans la chair, résultat d’une punition qui a fini par orner définitivement le corps de Lenz.
Son visage, quasiment entièrement caché de son bandeau est cependant extrêmement expressif et facilement compréhensible. Tout comme un véritable chien, ses mimiques de mâchoire et les bruit qu’il laisse échapper le rend parfaitement compréhensible. A noter qu’il n’est pas rare qu’il laisse apparaître ses oreilles ou sa queue canine, seulement pour donner corps à ses expressions. Comme on le lui a apprit, Lenz sait parfaitement maitriser son aspect animal.

Faisant parti de la race des Spitz, tout comme son frère, Lenz s’apparente à la branche finlandaise. Il aurait pu avoir l’aspect d’un véritable nounours si les mauvais traitements qu’il a reçut n’en avait pas fait un être pour le moins famélique et maigre.
Tout comme ses cheveux, ses poils ont déteint et ne reste plus de leur couleur d’origine, brun orangé, que quelques tâches ça et là sur son pelage. Ils n’en restent pas moins chauds et, s’il est à l’abri des regards, Lenz n’hésite pas à se transformer, ne serait-ce que pour quelques minutes, afin d’avoir un peu plus de chaleur.

I – Il était une autre fois,

Un enfant qui naquit sans aucune promesse d’amour.

Arraché à sa mère, qu’on avait de toute façon obligée à enfanter, dès sa naissance, il fut prénommé Lenz mais était en réalité destiné à être sifflé toute sa vie, comme le petit chien qu’il était…
Les scientifiques de la communauté des marchands avaient pour ambition de créer l’esclave parfait, le jouet sexuel et serviable dont rêverait tout homme. Ils voulaient créer un être docile et parfaitement soumis et pour arriver à leurs fins, quoi de plus facile que d’endoctriner un enfant… ?
Forts d’une première expérience sur le frère aîné de Lenz, ils savaient exactement comment s’y prendre et ne répéteraient pas les mêmes erreurs. Que Lenz ne soit pas tout à fait un petit gabarit n’était pas dérangeant, tout n’était que psychologie…
Ecraser, même détruire, l’once de libre arbitre que tout un chacun a en lui était leur objectif. Et pour ce faire, tous les moyens étaient bons… Le plus efficace chez Lenz fut la médication.
D’abord des drogues dures, coke, héroïne, ça ne fut pas du tout efficace comme les marchands l’espéraient et Lenz faillit leur échapper si bien que la violence devînt le deuxième fer du jeune garçon.
Jusqu’à ce que les scientifiques trouvent enfin la bonne molécule médicamenteuse, Lenz passa des jours, des semaines et parfois même des mois entiers totalement confiné seul dans une minuscule pièce sans lumière. C’est ainsi qu’il développa une luminophobie et un nouveau moyen de pression sur lui. Il se vit offrir un bandeau, un jour où il avait été particulièrement obéissant, protégeant ses fines paupières de toute lumière. Pour le punir, il suffisait de le lui enlever, les rayons passant un minimum ses paupières, le faisant hurler de douleur mais aussi de peur alors qu’il perdait tous ses repères.
Lenz était comme un aveugle, alors qu’on l’avait privé de sa vue, et c’était un véritable supplice lorsqu’on la lui rendait, ayant perdu toute faculté de maîtrise. L’isolement avait aussi réduit sa capacité de communication, Lenz n’ayant jamais véritablement eut quelqu’un a qui parler, il en perdit presque la parole, ne s’expriment plus que par gestes.
Il aurait pu totalement tomber dans un profond mutisme s’il n’avait pas eu à ses côtés son grand frère Eino pour essayer de le ramener à la réalité. Le jeune homme est un des rares à avoir entendu la voix de Lenz, ce dernier ne répondant plus autrement que par des gestes, à ceux qui le formataient.

Ainsi allait la vie de Lenz, balloté de droite à gauche jusqu’à ce qu’il devienne celui qu’il était né pour être.

II – Dans un pays triste et sans couleur,

Un jeune garçon qui n’était plus capable de penser par lui-même.

Drogué nuit et jour pour annihiler son libre arbitre, il n’était qu’une ombre obéissante qui longeaient les murs, une main en avant pour ne pas tomber.
Il allait là où on lui disait d’aller, faisait ce qu’on lui disait de faire, était capable de ne pas changer de position des heures durant, de ne pas dormir, de ne pas manger jusqu’à ce qu’on l’y autorise. Heureusement, Lenz avait toujours eu de l’eau en abondance.
C’est lors de sa dixième année que les marchands commencèrent son éducation sexuelle, une fois que la molécule médicamenteuse avait bien pénétré son organisme, que Lenz en était devenu totalement dépendant.
Ce fut la dernière fois où Lenz osa se rebeller alors qu’il avait été pris quasiment à sec, lui provoquant une violente douleur encore inconnue jusque là mais surtout une incompréhension totale et une peur panique.
Le marchant qu’il avait alors profondément mordu le récompensa par deux coups de couteau qui lui laissèrent une énorme cicatrice en forme de X sur le buste. Lenz aurait pu en mourir si seulement son grand frère n’avait pas réussit à le récupérer et à s’en occuper, bon grès mal grès, jusqu’à son rétablissement.
Dès qu’il eu reprit des forces son éducation recommença et, se laissant désormais faire, il finit par y trouver un certain plaisir. Son premier orgasme l’avait saisit aux tripes, jamais il n’avait connu quelque chose d’aussi bon. Ainsi il apprit très vite le fonctionnement de son corps et, en même temps qu’il apprit à donner du plaisir à son partenaire, il su très vite comment prendre lui aussi son pied, à l’insu même de son amant.
Très bruyant, il pouvait tout aussi bien se taire, faire semblant de ne gémir que de douleur alors qu’en réalité Lenz prend du plaisir quelque soit la situation.

Il en est devenu masochiste…

III – Une très mince lueur d’espoir,

Un adolescent asservit qui valait dix fois son poids en or.

Arriva le jour où cet esclave quasiment parfait avait pris tellement de valeur que les hommes qui l’avaient créé se mirent à se le disputer.
Lenz avait été aux premières loges du carnage et, même s’il n’avait rien vu, il avait tout entendu, tout senti. Agenouillé dans un coin de la pièce, il n’avait pas bougé jusqu’à ce qu’on lui attrape le bras pour le tirer loin de la bagarre.
Il n’avait jamais véritablement compris, n’avait pas cherché à comprendre en faite, tout ce qu’il savait est qu’il avait quitté le seul endroit qu’il avait toujours connu, son frère à ses côtés dont la présence ne voulait quasiment plus rien dire pour lui.
C’était Eino qui le tirait par la main, Lenz le savait mais il se laissait faire comme toujours, ne refermant pas ses doigts sur ceux de son frère. Une odeur inconnue avait fait frétiller ses narines et Lenz se demandait qui était l’homme que son frère suivait tout en s’en moquant éperdument. Il ne savait de toute façon plus faire de choix et même se propres pensées n’avait plus grand sens pour lui, il ne faisait qu’obéir.
Plus tard, lorsqu’ils furent installés en sécurité, Lenz appris que l’homme qui les avait emmenés était un autre marchand qui avait entendu parler d’eux et qui avait profité de la dispute pour se les approprier.
Ils avaient été volés, ni plus, ni moins, et ça n’avait fait ni chaud ni froid à Lenz. Tout ce qui lui importait était qu’il n’avait pas été abandonné. Lui qui ne vivait qu’à travers les autres…
Dans ce nouvel endroit, il rencontra de nouvelles personnes. Il n’était pas spécialement mieux traité qu’avant, il avait été perturbé un long moment alors qu’il avait perdu tous ses repères mais à aucun moment il n’avait tenté de s’enfuir. L’idée ne lui avait même jamais traversé l’esprit.
Un certain Alexandar s’était rapproché de lui et de son frère et comptait à présent parmi les personnes proches de lui, sans qu’il n’en ait vraiment conscience…
Tous les trois ne restèrent pas très longtemps avec le marchand et la famille Adamovitch fit une excellente affaire en les achetant tous les trois. Ils ne furent donc pas séparés mais, une fois encore, ça ne touchait pas vraiment Lenz.

Tant qu’il avait sa pilule journalière et un minimum d’attention, peu importait la personne, tout allait bien pour lui…

Quel est ton p'tit pseudo ? Aves ~
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Comment nous as-tu trouvé ? Top site =)
Changerais-tu quelque chose ? Changer non mais mieux classer certains sujets oui xD
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Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? BANANE TOI-MÊME !!!