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La manoir des Bêtes

 

 

 Le cirque vient à vous ~ Ezio Bulgarelli

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Ezio Bulgarelli
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Anonymous

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MessageSujet: Le cirque vient à vous ~ Ezio Bulgarelli    Le cirque vient à vous ~ Ezio Bulgarelli  EmptyMar 15 Juil - 23:14

Bulgarelli Ezio
« Le jour le plus perdu est celui dans lequel nous n'avons pas ri. »



© Feat : Kili - The Hobbit
Nom ; Bumgarelli.
Prénom ; Ezio.
Surnoms ; L'idiot du village , Tarzan.
Âge ; 22 ans.
Date de naissance ; Le 16 Juillet 1889.
Sexe ; Une homme au masculin.
Origines ; Italien de pure souche.
Groupe ; Esclave, hélas.
Rang ; Docile.
Orientation sexuelle ; Bisexuel.
Race ; Canidé de gabarit petit - Tanuki.

Caractère
Optimiste - Patient - Refuse la violence - Rusé - Adaptable

♛ Your Psychology
BE OR NOT TO BE, THAT IS THE QUESTION.

Qui suis-je ? Bonne question mais je vais tenter de vous répondre du mieux que je peux.

Je suis sur que vous remarquerez en premier chez moi que je suis quelqu'un de joyeux, portant presque toujours le sourire aux lèvres. Je ne me laisse que rarement abattre même si la vie ne m'a jamais offert de cadeaux ! Je n'aime pas prendre les choses au sérieux, c'est triste, c'est pesant à force, ça nous use jusqu'à la moelle. Je ne demande q'un peu de légèreté en ce bas monde. Optimiste de conviction, je prend les choses du bon côté ! A bas la dépression !

Mais ça ne m'empêche pas de rester sérieux quand le moment me semble inadéquate à un peu d'humour. L'observation n'est pas mon point le plus fort, mais je pense être doté d'un peu de cette qualité. Ou plutôt, j'ai une sorte d'instinct qui m'indique quand la situation est mauvaise ou non. Mon coté animale. Je m'adapte tel un caméléon et je fuis les conflits. C'est pas la violence qui résoudra tout les problèmes, en fait, elle ne fait que les générer. Dans ces cas là, je me fais tout petit, discret, invisible. Je suis capable de me fondre dans la masse comme d'en sortir. Je jongle avec tous mes problèmes et j'arrive à m'en défaire. C'est assez simple en réalité, il faut juste savoir se détacher des choses, ne pas les prendre à cœur. Rien n'est sérieux en ce bas monde sauf le rire. Il faut savoir rire de tout.

On me dit malin comme un singe. C'est sur, je le suis. J'ai gardé mon coté enfantin avec mes connaissances d'adultes ce qui me permet d'utiliser un langage approprier avec des gestes simples, tu détournes l'attention aisément et tu dérobe un portefeuille rapidement ! Des tours de passes passes en gros. Pour ça, il faut avoir l'air de quelqu'un de confiance. Une sourire généreux, des yeux étincelants, savoir s'acclimater aux émotions de ton interlocuteur, faire une face innocente ... Ce n'est pas pour autant que je suis un voleur invétérer. J'utilise mon potentiel pour déchiffrer des casses-têtes. J'ai l'air simple mais il faut se fier aux apparences.

J'apprécie ne pas me compliquer la vie, créer des fils à retordre n'est pas mon genre. La guerre, la haine, la colère, rien de tout ça fait partie de mon être. Je préfère apprendre, comprendre mon ennemi plutôt que l'accuser sans rien savoir et me plonger dans l'erreur.  Enfin, quand je disais que je ne connais pas la colère, c'était peut-être exagéré. Je le suis de tant à autre, face à des êtres têtus et définitivement stupide, quand on n'essaye pas de me comprendre, quand on me traître de lèche botte avec une langue de vipère. Je ne le suis pas. C'est pas parce que j'aime aider les gens de toute les manière possibles, que je suis près à faire n'importe quoi pour calmer des personnes que je le suis forcément. Ça m'est juste égale et non, je n'ai pas aucune fierté, j'en ai justement, mais juste différente de la tienne. Je sais me ridiculiser et rire de moi, je sais prendre sur moi la plupart du temps. Je préfère juste ne pas avoir un ego surdimensionné qui mène tout droit à la catastrophe. Je ne suis qu'un simple libertin, un amoureux de la paix et de l'amour. Un peu exagéré, mais presque.

Bon, m'avez vous cerner un peu ? Parce qu'en dire plus ferait trop, après, c'est à vous de me découvrir, moi ainsi que mes limites. Oui j'ai des limites, bien que je les ais rarement dépassés. J'ai une morale et tant qu'on la brise pas trop trop, ça ira. Je dis ça, mais je ne suis pas une grande menace. Mais les bâtons dans les roues, c'est mon job !

♛ Your Physical
BE OR NOT TO BE, THAT IS THE QUESTION.

Mon apparence ? Ne pouvez vous pas vous contenter de me regarder, de m'admirer même !? Bon, l'admiration n'est peut-être pas obligée, puisque après tout, mon physique est banal. Enfin, je crois.
Je ne suis pas moche, il faut l'avouer, j'ai du charme et on m'a déjà qualifié de mignon auparavant par des demoiselles. Et oui, je suis un homme, je ne peux m'empêcher d'aimer et flirter gentiment. Je garde une allure désinvolte, sauvage sur les bords avec ma courte barbe. Mes cheveux quant à eux, sont très longs pour un homme, ondulés et pas extrêmement doux comme j'aurais espérés mais assez agréable au touché bien que ce ne sois pas important. Ils sont bruns tout comme mes yeux. Qui dit mieux comme sans originalité ? Tout ceux qui sont comme moi, c'est à dire, des millions. Ma peau est assez douce, ce qui me convient comme me déplaît. Pas facile de se raser lorsque sa peau est fragile, du moins celle du visage. Pour la pilosité du reste du corps, j'en ai peu, pas très impressionnants.

En parlant du reste du corps, le haut de mon crâne trône à 1 m 80 du sol. Mon poids est idéal, je le surveille de près celui-là. Ce corps est constitués de muscles finement travaillés, hélas plus dans la souplesse que dans la force. Oui, je suis très habile, je grimpe aux arbres et aux falaises aisément. Je suis aussi rapide que endurant. Mais la force, soulever un pilier n'est pas mon fort, renverser quelqu'un non plus, me contorsionner ça, ça l'est.

Mais je ne suis pas seulement doué pour ça, je joue de trois différente flûtes (traversière, normale et hautbois qui n'en ai pas vraiment une) plutôt bien, j'arrive même à charmer quelques petits animaux comme moineaux et écureuils. Bref, passons, ce n'est même plus dans le physique tout ça... Du coup, mes habits ont pour sale habitude de finir rapidement tâché, pour ne pas me répéter. Du coup, je préfère rester dans les tons noirs, bruns, vert foncé, bleu foncé parfois, même si le jaune et le blanc me vont bien au teint. Mais je ne me soucis guère de mon apparence, ce n'est pas l'habit qui fait le moine.

Je pense avoir fait le tour, ah si, j'ai quelques cicatrices un peu partout sur le corps dû à mon passé d'artiste de scène, mais principalement sur les épaules, bras et mollets. Maintenant j'ai fini puisque je ne suis point doué pour les détails comme les lèvres, oreilles et tout ce qui est dans ce genre.

♛ Your Story
BE OR NOT TO BE, THAT IS THE QUESTION.

Comment j'en suis arrivé là ? Comment ai-je pu devenir esclave ?  C'est une longue et drôle d'histoire autant que pathétique. Mais je suppose que vous avez le temps de m'écouter ? Bien entendu. Donc voila, commençons par le commencement.

Je suis né dans une famille ordinaire, presque pauvre. J'avais une mère et un père comme la plupart d'entre nous. Mais ma mère nous quitta, mon père et moi, pas dans le sens péjoratif, elle n'est pas morte. Elle s'en alla quand j'avais 5 ans, ne pouvant plus supporter mon père malgré qu'il soit encore amoureux d'elle. Elle me laissa avec lui pour une raison qui me reste encore inconnue. Mais je ne fut point triste. Un peu quand même, mais je m'y suis fait rapidement. J'ai vécu avec mon père simplement pendant encore quatre années. Pendant cette période, j'avais construit ma personnalité, mes rêves, mon futur. J'étais heureux et j'avais quelques amis comme un enfant normal, et je faisais parfois des bêtises. Bref, banal. J'avais envie de devenir docteur animalier, vétérinaire en clair. Mais ce ne fut pas ce qui m'arriva. Mon père, qui était devenu alcoolique après le départ de sa femme bien-aimée, avait pris goûts pour les paris et la paresse. Il essayait de faire bien parfois, pour m’impressionner, se faire passer pour un bon père et surtout pour ramasser de l'argent. mais ça ne marchait pas trop et notre demeure devint presque un taudis. Et du coup, il perdit toutes les économies de mes études. Quand il m'annonça la nouvelle après que je sois rentré de l'école, il était presque en larme et à genoux pour s'excuser. Je fut pendant un instant désespéré, triste que mon futur s'écroule, et surtout abasourdi. Mais je ne put en vouloir à mon père. De toute manière, ce qui était fait ne pouvait être défait. De plus, cet homme, mon parent, était ce que l'on appel communément un idiot, un simple d'esprit. Et c'est ce que j'ai hérité de lui en outre, bien que je sois largement plus intelligent que lui. Mais ne dit-on pas heureux les simples d'esprit ? Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Il n'est donc pas nécessaire de s'énerver contre eux.

Mais il voulait se faire pardonner et tenter de m'offrir une vie plus agréable, plus digne même si il s'y prenait mal. Lorsqu'il vit le cirque arriver dans notre ville, il décida de s'embarquer avec eux. Il pensait que c'était plus intéressant, que ce serait une vie plus drôle et faite pour moi. En quelque sorte, il ne s'était pas trompé même si au début je doutais et j'étais quelque peu exaspéré par le comportement de mon père. Et donc, je fut emporté par le cirque, quittant mes quelques amis pour ne plus jamais les revoir. Cependant, je m'en fis de nouveau rapidement. Il y avait ce garçon nommé Alexandre, il venait de Grèce et tout le monde le surnommait Alexandre le grand. Ironiquement, il était petit, pas plus d'un mètre 55. Mais il était la joie de vivre incarnée. Il avait le même âge que moi, toutefois il se différenciait complètement par son apparence. La blondeur de ses cheveux, le bleu azur de ses yeux en amandes, mon opposé. Et surtout, ce que personne ne pouvait supposer, c'était un thérianthrope de gros gabarit, un ours du Tibet. Malheureusement, il n'avait jamais eu de parents, il avait vécu pendant sept ans dans un orphelinat avant de suivre le cirque. Si il m'avait suivi jusqu'au manoir Adamovitch, il aurait noble mais ce n'était pas du tout sa manière d'être. Il préférait une vie sans soucis, sans responsabilité, simple, libre, tout comme moi. Ce garçon qui devint mon meilleur ami était véritablement étonnant. Bien que sympathique, il ne fallait pas l’énerver ni lui piquer sa nourriture ! Il m'accueillit les bras ouvert et me montra les ficelles du métier bien qu'il ne connaissait que peu vu son âge. Je me suis adapté rapidement à ce milieu coloré et vivant. Mais j'étais hélas moins habile que je le pensais et j'ai dus prendre mon temps pour apprendre à jongler et faire l'acrobate loin au dessus de la piste. Toutefois j'ai réussi à le faire à l'âge de 13 ans. Mais pendant le temps d’apprentissage, je fus clown et appris à me prendre des tartes à la figure sans le prendre sur moi. Et à mes heures perdues j'appris la flûte, la flûte traversière ou le hautbois, à moins que j'aille m'amuser avec Alexandre. Les moments passés avec lui furent les meilleurs. Il avait une imagination presque sans limites. C'était toujours drôle d'être avec lui. On se baignait dans les ruisseaux des forêts sans pudeur, on grimpait au arbre, j'étais devenu le plus agile, le plus rapide mais lui était devenu le plus fort et me maîtrisait lors des bagarres. Il m'étonnera toujours. A l'âge de 18 ans, quand on fit complètement parti de la troupe, Alexandre était devenu un merveilleux lanceur de couteau, un artiste d'arts martiaux et un dresseur de tigre et d'ours avec qui il entretenait de bonnes relations, et je devins un clown, un acrobate et un musicien.

Cependant, tout ne fut pas rose. Il y a eu plusieurs moments désagréables mais je préfère garder en mémoire les bons moments. Il ne sert à rien de ressasser un passé désagréable, cela ne fait que pourrir le futur. Mais il y en a un qui ne quittera jamais mes souvenirs. C'était lors d'un arrêt en Angleterre. Il se faisait tard et le cirque commençait à fermer. Nous avions 16 ans et nous voulions passer une petite soirée entre ami à vagabonder dans les rues de Londres mais au lieu de nous amuser, on a vécu une petite histoire d'horreur. Quelques temps après cet incident, nous avons ris, c'était plutôt drôle, mais sur le moment, c'était effrayant. Car qui ne serait pas effrayé si il observait un meurtre sous ses yeux. Enfin, nous n'avions pas vu le meurtre, mais le cadavre et le meurtrier qui s'enfuyait, d'assez près pour que le meurtrier me bouscule et face tomber sa lame ensanglanté à mes pieds. J'étais sous le choque et tout se passa très vite. Les policier arrivèrent rapidement mais avant qu'ils arrivent, Alexandre, qui avait repris ses esprits, me poussa et me demanda de me cacher car la police allait croire que c'était moi le coupable. Il voulait me protéger, et ma peur et mon instinct firent le reste. Je m'étais tapis entre les poubelles sous ma forme de tanuki. Mais mon ami n'eut pas de chance. Les policier crurent que ce fut lui et commencèrent à l'embarquer. Alexandre n'arrivait pas trop à communiquer avec eux et ne put se faire comprendre. Dans le cirque on ne parlait qu'Italien car le directeur et la plupart de la troupe était originaire d'Italie, c'était une chance pour moi. Mais je parlais un peu mieux anglais que lui mais j'avais trop peur. J'avais failli laisser mon ami se faire passer pour un criminel si ce n'était pour un autre policier qui venait annoncer la capture du meurtrier. Ils le libérèrent alors et nous laissèrent tranquille juste un moment, le temps que l'on s'échappe. Nous aurions du donner noter témoignages mais notre cirque allait partir le lendemain. Alexandre m'avait récupéré et pris dans ses bras. Nous retournâmes au campement discrètement sans nous faire repéré. Cette nuit là, nous avons dormi comme des loirs.

Le temps est passé, plus ou moins le même. Nous avons grandi comme des frère, avec toujours de l'insouciance. Je suis resté un grand enfant on peut dire. C'est l'héritage du cirque. Mais ça m'a rendu aveugle sur les faits et gestes de mon père. Même si il suivait le cirque, son argent ne suivait. Contrairement à moi, il n'était pas doué à grand chose et n'était pas vraiment accepté par les gens du cirque. Il avait du donc empruntés des sous, faire des paris, tout risquer, même sa vie. Mais je ne l'ai su que bien trop tard, quand je ne pouvais plus faire marche arrière. Tout a commencé en novembre de l'année 1910 lorsque le directeur mourut, surement d'une crise cardiaque. Son testament indiquait qu'Alexandre devait prendre sa place en tant que gérant du cirque bien qu'il devrait être accompagné d'un directeur adjoint et aidé pour les 5 années à venir. Ce fut une surprise, nous savions tous qu'il était responsable et savait manier les gens mais de là à le faire directeur... Sinon tout allait pour le mieux pendant quelques mois mais son avis différait à celui de beaucoup dans le cirque. Il avait un esprit d'innovation et la plupart d'entre nous dont moi, un esprit traditionnel. Et se fut le choque. On s'opposait complètement et une dispute éclata entre nous, elle fut largement plus importante que les autres et plus désastreuses. Nous étions têtus entre nous, mais même si je gagnait rarement ces conflits, Alexandre revenait toujours pour s'excuser de son agressivité et pour essayer de trouver un compromis. Mais il n'était pas venu me retrouver le soir même, il avait de toute manière décider de me chassé du cirque le lendemain. J'avais retenu des larmes amères lorsque je suis rentré dans la roulotte de mon père. Je n'avais pas imaginé la surprise qui m'attendait qui me fit oublié ma frustration. Je vit mon père entouré de personnes qui avaient pour objectif de récupérer la "vie" de mon père puisqu'il n'avait pu les rembourser. Sauf que je n'étais pas de cet avis. J'allais pas perdre mon père comme j'avais perdu mon ami. J'avais décidé de prendre sa place et de me vendre en tant qu'esclave. Mon père fut abasourdi mais ne put rien faire pour m'aider, il allait encore tout foirer. Alexandre m'aurait traiter de crétin pour continuer à croire en une cause perdue, même si c'était mon père, mais c'était justement le mien, le seul et l'unique, et je ne pouvais l'abandonner.

Je fus donc contrait à être emmené de force, vendu comme esclave. J'avais embarqué dans un vieux camions remplis d'autres personnes dont le sort n'était pas plus favorable que le mien. On était tous en direction du nord, pour ma part, vers le manoir Adamovitch. De toute manière, je ne croyais pas qu'il serait possible de tomber plus bas qu'esclave. C'était une des deux pensées rassurantes que j'avais. La deuxième étant qu'Alexandre devait surement regretter d'être aller aussi loin, ce n'était pas lui. Même les autres personnes du cirque l'avait remraqué bien qu'ils n'aient rien dit ni fait quelque chose pour m'aider. Ça me confortait car je croyais et je crois toujours en Alexandre bien qu'il soit trop tard et que je le reverrais surement jamais. Je vais maintenant entamer une vie de servitude.

♛ Behind Your Character
BE OR NOT TO BE, THAT IS THE QUESTION.


Quel est ton p'tit pseudo ? J'en ai pas ._.
Quel âge as-tu ? 18 ans
Comment nous as-tu trouvé ? Par un autre forum !
Changerais-tu quelque chose ? Le forum rien je crois, le monde TOUT ! révolutiiion !
Quel est le code du règlement ?
Spoiler:
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Fraise, c'est plus frais, plus été, plus juteux et moins lourd !


Dernière édition par Ezio Bulgarelli le Mer 16 Juil - 9:02, édité 2 fois
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Aleksandar Iliev
Canidé
Aleksandar Iliev
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Orientation : Bisexuel
Conjoint : Pwah ! C'est quoi ce truc >.>
Dominance : Ambivalent, mais j'ai pas franchement l'occasion de dominer quelqu'un... (gros soumis sévèrement refoulé surtout)
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Propriété : + Maître : Dimitri Adamovitch
Emploi/loisirs : Lever le cul à tout ceux qui passent ? Ah nan, faut pas confondre esclavagisme et prostitution.
Humeur : Chiante <3

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MessageSujet: Re: Le cirque vient à vous ~ Ezio Bulgarelli    Le cirque vient à vous ~ Ezio Bulgarelli  EmptyMer 16 Juil - 0:29

Bienvenu o/ Alors tout est bon, je te valide 8D

Le cirque vient à vous ~ Ezio Bulgarelli  Image-validation-01
Tu es validé
Tu peux maintenant aller faire ta fiche de rps et ta fiche de liens pour que nous puissions te découvrir d'avantage et suivre ton personnage fraîchement validé dans ses folles aventures au manoir. Que tu sois un membre de la classe supérieure ou de la classe inférieure peut importe, mais nous te conseillons d'aller faire un tour vers les demande de propriétés pour que tu puisses posséder un domestique et des esclaves ou bien un maître. Pense également à faire ta demande d'appartement si tu es un Adamovitch ou un noble, en prenant garde à faire attention au lieu choisi pour ta résidence. Après tout cela, tu seras fin près à nous rejoindre en zone rpg. Et si tu faisais une petite demande de rp ?

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