Viens jouer avec moi ! [Terminée]

Feat : S!N - Nico Nico Singer

Nom ; Adamovitch.Prénom ; Adrian. Surnoms ; Essaie pour voir... Âge ; 22 ans. Date de naissance ; 23/12/1889 Sexe ; Homme Origines ; Russe Groupe ; Famille Adamovitch Rang ; Résident du manoir Orientation sexuelle ; Bisexuel plutôt orienté homo Race ; Cétacé – Baleine Blanche – Gros gabarit

Caractère
Impulsif – Sadique – Instable – Sentimental – Inexpressif

A la fois sombre et clair, on peut dire qu’Adrian n’est pas quelqu’un de simple à cerner. Il a des qualités et des défauts. Et pas forcément dans cet ordre. Peut-être que vous aurez envie de le connaître mais il est fort probable que vous le regrettiez. Parce que ce n’est pas un saint. L’ensemble des heures qu’il a déjà vécues, l’ont forgé, l’ont façonné. Et c’est ainsi qu’il est devenu bancal, instable, étrange. Autant de mots qui montrent à quel point il est complexe.

Dans le fond, il est mignon Adrian. Il adore jouer. Il est très joueur oui. Mais le truc c’est que ce sont des jeux plutôt destructeurs. Parce qu’Adrian il aime faire souffrir les gens. Il aime les entendre crier, pleurer et supplier. Oui, Adrian se nourrit de la souffrance des autres, elle le renforce. Parce qu’il n’est pas toujours très solide malgré ce que l’on pense. Parce qu’il n’a pas eu tout ce que la vie d’un premier né aurait dû lui promettre. Alors, il a trouvé d’autres échappatoires. Et c’est dans la souffrance qu’il exorcise tout ça. Pas la sienne non, cela des autres, qui vient le renforcer. Il n’a pas peur de la noirceur dans laquelle il plonge parce qu’il la maîtrise jusqu’au bout des ongles. Violence, sadisme, cruauté, voilà les maîtres mots qui guident ses pas lorsqu’il commence à jouer. Il se sent fort, il se sent vivant lorsqu’il torture les autres. Tellement plus vivant…

Alors oui, ce n’est l’archétype du mec sympa, du fils adorable non. Lui il est plutôt du genre à taper du pied jusqu’à obtenir ce qu’il veut et c’est souvent le cas, d’autant que si ça ne marche pas sur simple demande il saura obtenir ce qu’il souhaite de toutes les façons possibles et avec lui exit l’honnêteté. Un petit côté sournois et malin le rend encore plus dangereux. Quant au calme, cela ne saurait faire partie de ses qualités, il est plutôt du genre impulsif. Il prend ses décisions sur un coup de tête. Il cogne d’abord et réfléchit ensuite.

Mais Adrian n’est pas qu’un type pervers et cruel non. Il a aussi un côté plus humain. Enfin, humain… Oui et non. Disons que c’est vite dit. Il n’existe ni gentillesse ni générosité en lui non. Juste une fragilité liée à tout ce qui s’est passé dans sa famille. Mais il déteste le montrer, il déteste qu’on s’en rende compte et il serait capable de tuer plutôt que de laisser la rumeur se répandre qu’il n’est pas aussi fort qu’on ne le pense. De même, lorsque l’on parle de sa mère, le sujet devient sensible. Malgré tout ce qu’elle a fait, ou n’a pas fait justement, il lui reste fidèle, très soumis, très admiratif. Il l’aime sa mère et en même temps il la hait de ne pas le voir. Mais il l’aime plus que tout quand même. Alors cela fait de lui quelqu’un de sentimental ? Peut-être pas, mais disons qu’il sait parfois l’être. Parfois. Pas tout le temps. Pas pour tout le monde. Et pas trop fort. Il tient à sa réputation quand même.  Alors la plupart du temps, pour que les gens continuent de le voir comme la terreur se nourrissant de souffrance qu’il est la plupart du temps, il reste inexpressif, froid. Il ne se dévoile pas.

Mais dans le fond, il est comme tout le monde Adrian. Il aime des choses simples aussi. Pas seulement la souffrance, il aime aussi la musique, l’écouter et la jouer, il aime la nature et la tranquillité alors il n’est pas rare de le trouver dehors et il aime aussi les fruits. Il aime aussi d’autres choses mais il serait bien trop long de tout lister. Et il y a aussi des choses qu’il n’aime pas. Par exemple il déteste qu’on lui dise non. Il ne laissera surement pas un non en suspens, il finira par se transformer en oui, avec votre accord ou pas. Il gère mal la sensation d’abandon et déteste qu’on l’ignore. Parce qu’il n’est pas du genre à passer inaperçu. Méfiez-vous alors …

Adrian n’est pas une armoire à glace mais il s’en sort pas mal physiquement parlant. Ce qu’il n’a pas en masse musculaire, il le compense en prestance et en charisme. Ce qu’il n’a pas en force, il le compense en ruse.  Malgré tout, il n’est pas complètement dénué de muscle. Torturer, fouetter, battre, ça demande de la force. Alors il a une musculature fine mais efficace discrète mais bien dessinée tout de même. Agréable à regarder, il l’est. Il mesure 1m80 pour 82 kilos, autant dire qu’il n’est pas épais. Mais on le remarque quand même. On se retourne sur son passage quand même. Parce qu’il est sombre, sa façon d’être appelle l’attention. Dans son apparence général, il fait très soigné, très bien habillé. Il ne laisse rien en question, pour en imposer autant par son charisme que par son allure. Il a beau être plutôt fin, il reste tout de même imposant.

Ses cheveux sont noirs, tout comme ceux de sa mère. Ses yeux sont gris bleuté, en fonction de la lumière mais aussi de son humeur. Son regard ne souffre d’aucune faille, toujours fier, fort et tranchant, il est loin d’être chaleureux. Lorsqu’il plante son regard dans le vôtre, il déshabille votre âme d’un regard glacial. Il fait toujours cet effet : difficile à décrypter, inexpressif, il est le roi pour mettre des barrières entre lui et les gens. Mais lorsqu’il commence à jouer, là son regard change du tout au tout. Tantôt cruel, tantôt brûlant, il s’anime d’une âme et d’une folie insoupçonnée. Son visage est léger, ses traits sont masculins et agréables à regarder, comme le reste de sa personne. Mais ils sont neutres, la plupart du temps. Il est rare de les voir s’animer et encore plus rare de voir un sourire étirer ses lèvres fines. Sauf peut-être ces sourires cruels qu’il destine à ses victimes.  

Son style est donc soigné et propre. Il ne porte pour seul bijou qu’une boucle d’oreille, pendue à son oreille droite, qui appartenait à sa mère. Une preuve d’affection, d’admiration qu’il ne retire jamais.

L’enfance d’Adrian n’a pas été malheureuse non. Mais pas heureuse non plus. Elle aurait dû l’être. Mais ce ne fut pas le cas. Il préfère ne pas y penser la plupart du temps. Faire autre chose, regarder ailleurs. Parce que ce n’est pas la période de sa vie qu’il préfère. A bien y réfléchir, il est difficile de donner une période qu’il affectionne. Alors, il se centre dans le présent, le plus possible.

Une longue nuit. Une longue nuit de souffrance pour finalement mettre au monde un mignon petit garçon. Un petit thérianthropes. Un petit Adamovitch. Au regard doux et aux cris à peine plus forts que nécessaire. Ainsi naquit Adrian.

Sa mère, Eva, avait veillé à la pureté du sang de son enfant en s'unissant à son cousin germain. Un vrai Adamovitch. Mais très vite, la place de futur héritier de la famille lui fut retirée. Par cette même mère qui aurait dû l'aimer plus que tout au monde. Il n'en était rien. En réalité, elle le trouvait trop soumis, trop faible. Alors il ne servit plus que de pion afin de garder la main mise qu'Eva avait sur la famille.
Jusqu’à ce que sa mère mette au monde un second enfant, un second fils dont le père était aussi Adamovitch. Il n'était autre que l'oncle d'Adrian. Et très vite, sa mère décréta que Dimitri serait un bien meilleur héritier. Elle ne centra donc son attention que sur ce nouvel enfant.

Et tout en s'occupant de ce second fils qu'elle avait eu, elle délaissa son premier né sans aucun regret. Adrian pourtant n'eut de cesse de tenter de la rendre fière. Il comprit très vite que la situation n'était pas normale. Et comme il convenait qu'il ne déçoive pas plus sa mère et qu'il fasse honneur à son nom il fut éduqué.
Alors en bon fils cherchant désespérément à attirer l'attention d'une mère cruellement absente, il s’attacha à apprendre chaque leçon, à comprendre chaque concept, à retenir chaque théorie qu’on lui inculqua. Ce qui fait de lui aujourd’hui un adulte aussi cultivé qu’intelligent. Il ne faut pas le sous-estimer. Mais rien de ce qu’il fit ne réussit à attirer cette attention qu’il a tant espéré recevoir.

L'enfant en grandissant, face à l'entêtement obstiné de sa mère à l'ignorer malgré les efforts qu'il avait déployé, il devint différent. Petit à petit, il s'enfonça dans une espèce de folie glauque. La souffrance. Voilà ce qui l'apaisait. Mais celle des autres. Avec le temps, Adrian avait développé des pratiques déviantes et des aspects caractériels sombres.
Les cibles de ses fureurs, de ses longues heures de jeux malsains, étaient principalement des esclaves ou des domestiques. Très vite, les nobles rejoignirent les cibles de ses fureurs. Et celles-ci n'avaient qu'un seul but : évacuer la frustration. Cette sombre et si intense frustration causée par sa mère. Cette mère qui ne voulait pas de lui, qui avait honte de lui. Petit à petit il devint plus fort, plus méchant. Mais malgré cela, malgré cette frustration, il reste encore aujourd’hui soumis à sa mère. La seule personne réussissant à le faire obéir d'ailleurs.

Plus tard encore, Eva eut un nouvel enfant. Une petite fille cette fois. D'une nouvelle relation avec son oncle. Et ce ne fut que lorsqu'elle fut en âge de marcher et de parler qu'elle réussit à attirer l'attention d'Adrian. En effet, un jour, elle a surpris l’un de ses nombreux moments de colère, elle s’est approchée et l’a rassuré. Sans peur, sans dégoût. Elle l’a juste rassuré. Depuis, un lien particulier existe entre eux. Et il serait prêt à tuer quiconque s’en prendra à elle. Elizaveta est sa petite sœur, la seule personne réussissant à l'apaiser un peu.  
Quant à son frère, même s'il le devrait, Adrian n'arrive pas à le détester. Il se rend bien compte que son petit frère n'est pas responsable des comportements de sa mère alors il l'aime. A sa façon. A distance, sans parler, sans contact. Car Dimitri est assez grand pour se protéger tout seul. Cependant, il veille au grain.

Alors il continue à jouer. Et veille à ne pas se retrouver avec des enfants sur les bras. Parce qu’il n’en veut pas. Il continue à tenter de rendre sa mère fière. Même s’il se rend compte que c’est probablement peine perdue.

Quel est ton p'tit pseudo ?  Adrian !
Quel âge as-tu ? 23 ans
Comment nous as-tu trouvé ? Si vous cherchez un coupable, tournez-vous vers Dimitri !
Changerais-tu quelque chose ? Nop !
Quel est le code du règlement ? Code Validé
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Fraise voyons !